BEGIN:VCALENDAR VERSION:2.0 PRODID:-//83.166.151.59//NONSGML kigkonsult.se iCalcreator 2.26.9// CALSCALE:GREGORIAN METHOD:PUBLISH X-FROM-URL:https://www.icamge.ch X-WR-TIMEZONE:Europe/Paris BEGIN:VTIMEZONE TZID:Europe/Paris X-LIC-LOCATION:Europe/Paris BEGIN:STANDARD DTSTART:20231029T030000 TZOFFSETFROM:+0200 TZOFFSETTO:+0100 RDATE:20241027T030000 TZNAME:CET END:STANDARD BEGIN:DAYLIGHT DTSTART:20240331T020000 TZOFFSETFROM:+0100 TZOFFSETTO:+0200 RDATE:20250330T020000 TZNAME:CEST END:DAYLIGHT END:VTIMEZONE BEGIN:VEVENT UID:ai1ec-11973@www.icamge.ch DTSTAMP:20240328T161105Z CATEGORIES;LANGUAGE=fr-FR:A ne pas rater !\,Art culinaire\,Cuisine\,Gastron omie\,Lecture\,Littérature\,Maroc\,Présentation d'un livre\,Roman CONTACT:ICAM-L'Olivier\; 022 731 84 40\; admin@icamge.ch\; https://www.icam ge.ch DESCRIPTION:
Sous la houlette optimiste du chef Ach our\, convaincu des bienfaits de l’esprit collectif et de l’entraide\, cet te jolie assemblée d’âmes brisées va apprendre à s’apprivoiser en se récon ciliant avec les saveurs de la vie.
\nOn retrouve la lucidité et la verve caustique de Leïla Bahsaïn\, prix Méditerranée pour Le ciel sous nos pas\, dans ce nouveau roman savoureux et généreux sur l’art de se réinventer. Comme une recette de bonheur pour les temps difficiles.
\n< /div>\n\nLeïla B ahsaïn est franco-marocaine\, elle vit à Besançon. Après avoir été conseil lère en réinsertion\, elle s’occupe désormais d’une association qu’elle a fondée au Maroc\, qui se consacre à l’alphabétisation des femmes. Elle a r eçu le prix de la nouvelle de Tanger. Elle a publié chez Albin Michel Le Ciel sous nos pas\, prix Méditerranée du premier roman 2019\, qui a été en lice pour le prix France-Télévision\, le prix Cazes et le prix de la Littérature arabe.
\n
\nLe 14 avril\, 18h30 Luisa Ballin accueill
era pour l’ICAM\, Sophie Bessis autour de son livre « Je vous écris d’un
e autre rive » -Lettre à Hanna Arendt.
Vous verrez dans ces pages
que j’ai des choses à vous reprocher. Mais ce que j’ai lu de vous sonne en
moi comme un appel à fouiller la mémoire\, à lire l’Histoire à travers el
le aussi pour aller de l’avant ». S. B. Hannah Arendt occupe une place par
ticulière dans la pensée du XXe siècle. Elle en a vécu les tragédies\, a t
enté d’en expliquer les causes et les manifestations. Cette expérience l’a
conduite à s’intéresser à la genèse du sionisme et de la création de l’Et
at d’Israël et à poser un regard visionnaire sur le destin de ce nationali
sme particulier.
\nDans un aller-retour entre les guerres du vieux mo
nde et les défis actuels\, Sophie Bessis dialogue avec la philosophe\, la
conteste parfois\, l’admire toujours. Cette lettre se veut un propos libre
\, personnel et politique\, et une interrogation sur notre devenir collect
if.
\n
Droits des femmes\, nationa
lismes et mondialisation… Sophie Bessis analyse les lieux de tensions entr
e les volontés d’émancipation et les tendances autoritaires à travers la M
éditerranée.
\nDans un court essai adressé directement à Hannah Arend
t (« Je vous écris d’une autre rive – Lettre à Hannah Arendt »\, Elyzad\,
Tunis\, 2021)\, l’historienne et intellectuelle franco-tunisienne Sophie B
essis adresse deux sujets. D’abord\, elle explique en quoi elle rejoint le
s vues de la philosophe allemande à propos du sionisme et étend les critiq
ues sur le projet sioniste formulées par Arendt à tous les nationalismes\,
y compris ceux des pays du Sud nés au cours de luttes d’émancipation anti
coloniales dont elle souligne la légitimité.
\n\n
\nQue sur
toi se lamente le Tigre :
\nDans l’Irak rural d’aujourd’hui\, sur les
rives du tigre\, une jeune fille franchit l’interdit absolu: hors mariage
\, une relation amoureuse\, comme un élan de vie. Le garçon meurt sous les
bombes\, la jeune fille est enceinte: son destin est scellé. Alors que la
mécanique implacable s’ébranle\, les membres de la famille se déploient e
n une ronde d’ombres muettes sous le regard tutélaire de Gilgamesh\, héros
mésopotamien\, porteur de la mémoire du pays et des hommes.
\nInspir
ée par les réalités complexes de l’Irak qu’elle connait bien\, Emilienne M
alfatto nous fait pénétrer avec subtilité dans une société fermée\, régent
ée par l’autorité masculine et le code de l’honneur. Un premier roman fulg
urant\, à l’intensité d’une tragédie antique.
***
\n***
\n\n
\n
Mouloud Mammeri (1917-1989) est un écrivain\, anthropologue et linguiste a lgérien kabyle.
\nBiographie
\nMouloud Mammeri est né le 28 décembre 1917 à Taourirt Mimoune (Ath Yenni) en Haute Kabylie. Il fait ses études primaire s dans son village natal. En 1928 il part chez son oncle à Rabat (Maroc)\, où ce dernier est alors le précepteur de Mohammed V. Quatre ans après il revient à Alger et poursuit ses études au Lycée Bugeaud (actuel Lycée Emir Abdelkader\, à Bab-El-Oued\, Alger). Il part ensuite au Lycée Louis-le-Gr and à Paris ayant l’intention de rentrer à l’École normale supérieure. Mob ilisé en 1939 et libéré en octobre 1940\, Mouloud Mammeri s’inscrit à la F aculté des Lettres d’Alger. Remobilisé en 1942 après le débarquement améri cain\, il participe aux campagnes d’Italie\, de France et d’Allemagne.
\nA la fin de la guerre\, il prépare à Pa ris un concours de professorat de Lettres et rentre en Algérie en septembr e 1947. Il enseigne à Médéa\, puis à Ben Aknoun et publie son premier roma n\, La Colline oubliée en 1952. Sous la pression des événements\, il doit quitter Alger en 1957.
\nDe 1957 à 196 2\, Mouloud Mammeri reste au Maroc et rejoint l’Algérie au lendemain de so n indépendance. De 1965 à 1972 il enseigne le berbère à l’université dans le cadre de la section d’ethnologie\, la chaire de berbère ayant été suppr imée en 1962. Il n’assure des cours dans cette langue qu’au gré des autori sations\, animant bénévolement des cours jusqu’en 1973 tandis que certaine s matières telles l’ethnologie et l’anthropologie jugées sciences colonial es doivent disparaître des enseignements universitaires. De 1969 à 1980 Mo uloud Mammeri dirige le Centre de Recherches Anthropologiques\, Préhistori ques et Ethnographiques d’Alger (CRAPE). Il a également un passage éphémèr e à la tête de la première union nationale des écrivains algériens qu’il a bandonne pour discordance de vue sur le rôle de l’écrivain dans la société .
\nMouloud Mammeri recueille et publi e en 1969 les textes du poète kabyle Si Mohand. En 1980\, c’est l’interdic tion d’une de ses conférences à Tizi Ouzou sur la poésie kabyle ancienne q ui est à l’origine des événements du Printemps berbère.
\nEn 1982\, il fonde à Paris le Centre d’Études et de Re cherches Amazighes (CERAM) et la revue Awal (La parole)\, animant égalemen t un séminaire sur la langue et la littérature amazighes sous forme de con férences complémentaires au sein de l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS). Ce long itinéraire scientifique lui a permis de rassembl er une somme d’éléments fondamentaux sur la langue et la littérature amazi ghes. En 1988 Mouloud Mammeri reçoit le titre de docteur honoris causa à l a Sorbonne.
\nMouloud Mammeri meurt le soir du 26 février 1989 des suites d’un accident de voiture\, qui eut lie u près de Aïn Defla à son retour d’un colloque d’Oujda (Maroc).
\nLe 27 février\, sa dépouille est ramené à son domicile\, rue Sfindja (ex Laperlier) à Alger. Mouloud Mammeri est inhumé\ , le lendemain\, à Taourirt Mimoun. Ses funérailles furent spectaculaire : plus de 200 000 personnes assistèrent à son enterrement. Aucun officiel n ’assista à la cérémonie alors qu’une foule compacte scandait des slogans c ontre le pouvoir en place.
\nCitation< /p>\n
« Vous me faites le chantre de la cu lture berbère et c’est vrai. Cette culture est la mienne\, elle est aussi la vôtre. Elle est une des composantes de la culture algérienne\, elle con tribue à l’enrichir\, à la diversifier\, et à ce titre je tiens (comme vou s devriez le faire avec moi) non seulement à la maintenir mais à la dévelo pper. »
\nRéponse de Mouloud Mammeri à un torchon « les donneurs de leçons » paru dans le quotidien officiel don t les responsables n’eurent pas la dignité d’en publier le contenu et qui\ , de ce fait\, circula en Algérie sous forme dactylographiée en avril 1980 .
\nJugement
\n« Ses romans représentent\, si l’on veut\, quatre moments de l’Algérie : « La Colline oubliée » les années 1942 et le malaise dans le v illage natal avec le départ pour le pays des « autres »\; « Le Sommeil du juste » l’expérience de l’Algérien chez ceux-ci et le retour\, déçu\, chez les siens\; « L’Opium et le bâton » la guerre de libération dans un villa ge de la montagne kabyle (…). Enfin « La Traversée » depuis 1962 se termin e sur le désenchantement (…).’La mystique est retombée en politique’\, le dogme et la servitude sont’programmés’. »
\nJean Déjeux\, Dictionnaire des auteurs maghrébins de langue français e\, Paris\, Editions Karthala\, 1984\, p. 158 (ISBN 2865370852)
\nBibliographie
\nRomans :
\n* La Colline oubliée\
, Paris\, Plon\, 1952\, 2nde édition\, Paris\, Union Générale d’Éditions\,
S.N.E.D.\, col. 10/18\, 1978 (ISBN 2264009071)\; Paris\, Folio Gallimard\
, 1992 (ISBN 200384748).
\n* Le Sommeil du juste\, Paris\, Plon\, 195
2\, 2nde édition\, Paris\, Union Générale d’Éditions\, S.N.E.D.\, col. 10/
18\, 1978 (ISBN 2264009081).
\n* L’Opium et le bâton\, Paris\, Plon\,
1965\, 2nde édition\, Paris\, Union Générale d’Éditions\, S.N.E.D.\, col.
10/18\, 1978 (ISBN 2264009063)\, Paris\, La Découverte (ISBN 2707120863)
et 1992 (ISBN 009491813).
\n* La Traversée\, Paris\, Plon\, 1982\, 2n
de édition\, Alger\, Bouchène\, 1992.
Nouvelles :
\n* « Ameur des arcades
et l’ordre »\, Paris\, 1953\, Plon\, « La table ronde »\, n°72.
\n* «
Le Zèbre »\, Preuves\, Paris\, N° 76\, Juin 1957\, PP. 33-67.
\n* «
La Meute »\, Europe\, Paris\, N°567-568\, Juillet-Août 1976.
\n* « L’
Hibiscus »\, Montréal\, 1985\, Dérives N°49\, PP. 67-80.
\n* « Le Dés
ert Atavique »\, Paris\, 1981\, quotidien Le Monde du 16 Août 1981.
\n* « Ténéré Atavique »\, Paris\, 1983\, Revue Autrement N°05.
\n* «
Escales »\, Alger\, 1985\, Révolution africaine\; Paris\, 1992\, La Découv
erte (ISBN 270712043X).
Théâtre :
\n* « Le Foehn ou la preuve par neuf »\,
Paris\, PubliSud\, 1982\, 2nde édition\, Paris\, pièce jouée à Alger en 1
967.
\n* « Le Banquet »\, précédé d’un dossier\, la mort absurde des
aztèques\, Paris\, Librairie académique Perrin\, 1973.
\n* « La Cité
du soleil »\, sortie en trois tableaux\, Alger\, 1987\, Laphomic\, M. Mamm
eri : Entretien avec Tahar Djaout\, pp. 62-94.
Traduction et critique littéraire :
\n* « Les Isefra de Si Mohand ou M’hand »\, texte berbère et trad
uction\, Paris\, Maspero\, 1969\, 1978 (ISBN 046999278) et 1982 (ISBN 0052
039X)\; Paris\, La Découverte\, 1987 (ISBN 001244140) et 1994 (ISBN 013383
388).
\n* « Poèmes kabyles anciens »\, textes berbères et français\,
Paris\, Maspero\, 1980 (ISBN 2707111503)\; Paris\, La Découverte\, 2001 (I
SBN 056360975).
\n* « L’Ahellil du Gourara »\, Paris\, M.S.H.\, 1984
(ISBN 273510107X).
\n* « Yenna-yas Ccix Muhand »\, Alger\, Laphomic\,
1989.
\n* « Machaho\, contes berbères de Kabylie »\, Paris\, Bordas.
\n* « Tellem chaho\, contes berbères de Kabylie »\, Paris\, Bordas\,
1980.
Grammaire et linguistique : p>\n
* « Tajerrumt n tmazigt (tantala taqb
aylit) »\, Paris\, Maspero\, 1976.
\n* « Précis de grammaire berbère
»\, Paris\, Awal\, 1988 (ISBN 001443038).
\n* « Lexique français-toua
reg »\, en collaboration avec J.M. Cortade\, Paris\, Arts et métiers graph
iques\, 1967.
\n* « Amawal Tamazigt-Français et Français-Tamazigt »\,
Imedyazen\, Paris\, 1980.
\n* « Awal »\, cahiers d’études berbères\,
sous la direction de M. Mammeri\, 1985-1989\, Paris\, Awal
Sur Mouloud Mammeri
\n* Jean Déjeux\, Bibliographie méthodique et critique de la littéra
ture algérienne de langue française 1945-1977\, SNED\, Alger\, 1979.
\n* Jean Déjeux\, Dictionnaire des auteurs maghrébins de langue française\
, Paris\, Editions Karthala\, 1984 (ISBN 2-86537-085-2).
\n* Antholog
ie de la littérature algérienne (1950-1987)\, introduction\, choix\, notic
es et commentaires de Charles Bonn\, Le Livre de Poche\, Paris\, 1990 (ISB
N 2-253-05309-0)
Lien interne
\n< p style='text-align: justify\;'>Liens externes [modifier]Extrait<
br />\nBen Aïcha s’inclina\, lui baisa la main.
\n— Parlez-moi de vot
re nation\, je brûle de la connaître\, le roi\, mon père\, le sait…
\nLe cœur de Ben Aïcha se mit à battre comme s’il allait rompre. Il s’effo
rça de masquer son trouble et parla longuement de son pays. Elle était rad
ieuse.
\nIl sentait le velours bleu vert de ses yeux posé sur son âme
. Elle sourit. Elle devait prendre congé. Il se pencha plus avant. Effleur
a\, de ses lèvres\, l’ineffable blancheur de sa main. Elle s’éloigna. Il n
’était plus apte à fixer son esprit sur rien. Il était comme enveloppé dan
s l’immatériel satin d’un songe.
Pour l’auteur Kebir Ammi<
/strong>
\n«C’est un roman à la croisée des chemins\, un roman métis\
, un roman sur la liberté d’être d’ici et d’ailleurs\, une réécriture d’un
passé non assumé souvent.
\nJe voulais que la beauté et la fragilité
de la poésie croisent la vérité du roman et s’en emparent. Je voulais que
ce roman soit comme une ode à l’amour.»
\nL’auteur
\nKebir Ammi est né à Taza\, au Mar
oc. Essayiste\, dramaturge et romancier\, il vit en France depuis plus de
trente ans. Il est l’auteur d’une œuvre ouverte sur l’altérité\, la divers
ité et la beauté du monde. Ses romans sont parus chez Gallimard et Mercure
de France. Ben Aïcha est son premier titre publié chez Mémoire d’encrier.
\n\n
Elle s’est installée à Genève en 1981 pour y acquérir une expérience professionnelle dans les domaines journalistique et institution nel. Luisa Ballin est journaliste RP (Registre professionnel suisse). Ses articles les plus récents ont été publiés dans les quotidiens suisses Le T emps\, Le Courrier\, le bi-mensuel suisse La Cité\, le magazine UN Special et sur le site de l’agence Infosud et celui du Club suisse de la presse.< /p>\n
Le Moyen-Orient est-il démocrate ou républicain ? L’arrivée de Joe Biden à la Maison Blanche provoque des réactions contrastées dans la régi on. Certains États redoutent une rupture dans la politique étrangère améri caine\, d’autres relativisent l’impact d’une nouvelle administration et év oquent une redéfinition des choix et des priorités de la politique américa ine au Moyen-Orient. La décision de Joe Biden de faire appel à Antony Blin ken pour le département d’État et à Jake Sullivan pour la direction de la Sécurité nationale dénote une volonté de traduire en partie les promesses électorales en matière de politique étrangère : le retour à l’approche mul tilatérale\, une collaboration étroite avec les alliés traditionnels de Wa shington et la préservation des intérêts américains. Le président américai n change\, mais les intérêts américains au Moyen-Orient ne changent pas. p>\n
\nHasni ABIDI est politologue\, spécialiste de la région MENA. Il est m embre du Panel international sur la sortie de la violence. Cofondateur\, en 1999\, du Centre d’études et de recherche sur le monde arabe et méditer ranéen (CERMAM) à Genève\, le premier centre de recherche sur le monde ara be en Suisse. Titulaire d’un Doctorat en science politique de l’Université de Genève\, M. Abidi assure un séminaire au Global Studies Institute de l ’Université de Genève sur « la Politique méditerranéenne de l’UE »\, un co urs sur la « Géopolitique du Moyen-Orient » et un séminaire hebdomadaire s ur les «Nouvelles dynamiques institutionnelles au Moyen-Orient ».
\nChercheur invité à l’Université Paris I durant plusieurs années\, Hasni AB IDI enseigne à Sciences Po. Campus de Menton. Ses travaux portent sur l’év olution politique au Proche et Moyen-Orient et en Afrique du nord et les c ontours des transitions engagées dans le monde arabe. M. Abidi se focalise sur la participation politique des islamistes et la conversion politique et économique des jihadistes. M. Abidi a assuré des mandats de recherches pour plusieurs organisations régionales et internationales dont l’UNESCO\ , CNUCED\, UNAOC et le CICR portant sur plusieurs thématiques dont violenc e et transition démocratique\, le processus EuroMed\, et les mutations en cours dans les monarchies du Golfe.
\nM. ABIDI est l’auteur de plusi eurs ouvrages et articles sur la région\, notamment :
\nElle s’est instal lée à Genève en 1981 pour y acquérir une expérience professionnelle dans l es domaines journalistique et institutionnel. Luisa Ballin est journaliste RP (Registre professionnel suisse). Ses articles les plus récents ont été publiés dans les quotidiens suisses Le Temps\, Le Courrier\, le magazine UN Special et sur le site de l’agence Infosud et celui du Club suisse de l a presse.
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