Damas, mars 2011. La révolution commence à gronder. Mais Samir lui préfère sa jeune soeur Myriam, plus docile. Nahla se rapproche alors de sa nouvelle voisine, Madame Jiji, qui vient d’arriver dans l’immeuble pour ouvrir une maison close.
Présenté au Festival de Cannes 2018, ce film raconte l’histoire de Nahal, jeune femme de 25 ans, tiraillée entre son désir de liberté et l’espoir de quitter le pays et Damas grâce au mariage arrangé avec Samir, un syrien expatrié aux États-Unis. Mais celui-ci lui préfère sa jeune sœur Myriam, plus docile. Nahla se rapproche alors de sa nouvelle et intrigante voisine, Madame Jiji, qui vient d’arriver dans l’immeuble pour ouvrir une maison close. En Mars 2011, les tensions dans les rues sont très vives.
Le Festival International Esquisse d’Orient est organisé chaque année depuis 2010, à Fribourg. Il met à l’honneur l’art de la danse orientale et accueille les plus grands artistes provenant de l’étranger. En octobre prochain il déroulera un magnifique programme marquant sa 10ème édition.
Soirée d’ouverture, le 17 octobre. Elle mettra à l’honneur les 80 ans du parrain du Festival Dr Mo Geddawi. Il racontera l’évolution de la danse orientale, ses anecdotes, ses rencontres dans le cadre chaleureux de Fribourg, puis quelques prestations de danse seront suivies d’un repas.
Café Théâtre Le Tunnel, dès 18h30.
La compétition, le 18 octobre. Le jury devra évaluer des danseurs et danseuses répartis en 4 catégories différentes, d’une part parmi les professionnels et d’autre part parmi les amateurs. Ouvert au public.
Aula du Collège St-Michel, 20h.
Les workshops, du 18 au 20 octobre. 12 sessions sont proposées.
Ecole des danses d’Orient Maryam, Varis 9, Fribourg.
Soirée de Gala, le 19 octobre. Elle constitue le temps fort de l’événement. Ouvert au grand public, aux amateurs de danses et de cultures orientales, cette soirée accueillera sur scène de véritables artistes et enseignants, ou encore musiciens : Mohamed Kazafy (Egypte), Munique Neith (Brésil-Espagne), Elena Eleffteriou (Grèce), Touria Karam (Maroc-France), Maryam Ribordy (Iran-Suisse), qui seront accompagné(e)s par des danseurs et danseuses semi-professionnel(le)s ou professionnel(le)s.
Théâtre Equilibre, 20h.
Françoise Flore Atlan et l’orchestre de Fouad Didi
« Andalussiyat » ou Le temps de la Convivencia
avec Farid Zebroune, Youcef Bedjaoui, Youcef Kasbadji, Madgid Sebillot
Françoise Flore Atlan accompagnée à l’oud par le musicien, chanteur et pédagogue algérien FOUAD DIDI.et l’Orchestre TARAB .
Soprano invitée comme soliste sur des scènes internationales prestigieuses telles que le Carnegie Hall à New York, le Festival International de Mexico, le théâtre de La Monnaie de Bruxelles, le Festival d’Utrecht (Hollande), le Festival des Musiques sacrées de Fès, les Suds à Arles ou encore le Festival d’art lyrique d’Aix en Provence, la chanteuse Françoise Atlan a enregistré plusieurs disques primés par la critique.
Diapason d’Or, Choc du Monde de La Musique, FFFF Télérama, Grand prix de l’Académie Charles Cros… Artiste à la double culture, dotée d’une expression vocale unique en son genre, elle se passionne pour le patrimoine vocal méditerranéen tout en poursuivant sa carrière de chanteuse lyrique.
Ce concert nous invite à revenir sur une époque exceptionnelle en Espagne, quand juifs, arabes et chrétiens vivaient ensemble en paix et en ouverture à l’autre.
L’esprit de Cordoue évoque, bien avant la chute du Royaume de Grenade en 1492, la » convivencia » culturelle, sociale et intellectuelle qui caractérisait les relations entre les trois religions : judaïsme, christianisme, islam. Les métissages culturels de cette époque ont créé les somptueux répertoires des romances en hébreu et en judéo-espagnol et de la musique arabo-andalouse, née du triple héritage de la musique chrétienne ibérique, de la musique afroberbère du Maghreb et de la tradition arabe.
Artiste à la double culture, dotée d’une expression vocale, d’un style et d’une technique particulièrement originale, Françoise Atlan est l’une des plus grandes interprètes du répertoire judéo-espagnol et de la musique arabo-andalouse. Invitée comme soliste sur les scènes majeures internationales, elle a reçu de nombreuses distinctions pour ses disques dont le Grand prix de l’Académie Charles Cros. Elle sera accompagnée à l’oud par le musicien, chanteur et pédagogue algérien FOUAD DIDI.et l’Orchestre TARAB
Né à Tlemcen en Algérie, Fouad Didi chante, joue du violon et du oud depuis son enfance. Il étudie le répertoire et la technique des grands maîtres de son époque, qui l’encouragent dans sa soif d’apprendre et lui transmettent leur savoir. Le violon le passionne et devient son instrument de prédilection, bien qu’il joue avec bonheur de la mandoline et du oud.
Il a fondé l’orchestre Tarab, spécialisé dans le répertoire classique, dans le respect de la Tradition orale ancestrale. Après de nombreux concerts donnés en France et à l’étranger, il est reconnu comme étant l’un des plus brillants représentants de la musique arabo-andalouse.
Sary et Ayad Khalifé Quartet
Sary Khalife, Ayad Khalife, Florent Allirot, David Paycha
« Soobia » est un projet mêlant avec brio Jazz, musique traditionnelle orientale et musique classique à travers neuf œuvres originales.
Une mixture subtile, inédite et très imagée où virtuosité et poésie se côtoient dans un univers unique sur la scène musicale actuelle.
Laissez-vous envoûter par un duo piano et violoncelle explosif avec les frères Sary et Ayad Khalife, un duo sur lequel vont se greffer une batterie jazz et une basse.
Après son dernier album, El Mutakallimûn, dans lequel elle avait redonné vie à une série de textes de grands poètes arabes, Souad Massi revient avec un projet très personnel.
Les différents titres évoquent des pans de sa vie, et les émotions qui la traversent ; mais ses engagements et la défense de valeurs qu’elle porte depuis le début de sa carrière et dans sa vie de femme y ont également une place importante.
Avec ce nouveau projet, Souad a en effet eu le désir de mettre en avant ce qui la touche et la mobilise depuis toujours : la condition des femmes à travers le temps et dans le monde, et plus largement la défense des droits de l’Homme.
Engagée auprès du changement en Algérie, elle exprime ici son soutien à toutes les luttes qui participent à l’ouverture d’une voie : celle de l’indépendance et du droit à la dignité pour tous.
Portée par le désir profond de s’adresser au plus grand nombre, avec une musique épurée et universelle, elle tend ici un pont entre musique folk et chaâbi.
Bercée par la musique traditionnelle algéroise, elle a en effet également été très tôt influencée par la musique folk américaine…
C’est donc à un retour à ses sources qu’elle nous convie, à ses fondations musicales, empreintes de diversité culturelle.
La volonté affichée pour ce nouveau projet est également de retrouver la Souad des débuts, musicalement : instinctive, dénuée de but ; que les chansons qu’elle offre ici puissent vivre seules, par elles mêmes.
Indépendance, ici encore, cette fois face aux diktats des cases et des genres…
Les 12-14 de l’égalité sont des rdv thématiques et périodiques autour d’une ou d’un invité.
Le temps d’une pause de midi au milieu de la journée pour s’enrichir et puiser des informations dans le domaine de l’égalité.
Si vous avez une thématique à proposer, que vous êtes engagé-e-s à l’UNIGE, n’hésitez pas à nous la communiquer via egalite@unige.ch
3 OCTOBRE | SALLE 2193 À UNI MAIL | 12:15-14:00
DÉSINFORMATION, INFORMATION & PARTICIPATION: LES NOUVEAUX DÉFIS DÉMOCRATIQUES
Une jeunesse féministe arabe assoiffée de liberté, d’égalité et de démocratie
Présentation par Leila Tauil, chargée de cours UNIGE
« Aux côtés des vaillantes féministes historiques toujours engagées dans le combat universel des droits humains, des jeunes féministes subversives assoiffées de liberté, d’égalité et de démocratie, participent – auprès d’autres forces démocratiques – à la révolution du monde arabe » Leïla Tauil, enseignante à l’Université de Genève et spécialiste des mouvements féministes du monde arabe, nous parlera du rôle des jeunes féministes dans le processus de transition démocratique au Maghreb.
Malgré son cortège de désillusions et de désastres, ledit Printemps arabe – mouvement social, né en Tunisie en décembre 2010, revendiquant principalement la liberté et la dignité – a marqué un tournant historique sans précédent pour les sociétés du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord. Aux féministes historiques de la période prérévolutionnaire ont succédé des jeunes féministes, engagées politiquement dans l’espace public en usant puissamment des réseaux sociaux, dans ce contexte paradigmatique postrévolutionnaire totalement nouveau qui se caractérise essentiellement par la libération de la parole et la fin de la croyance de « l’immuabilité » des dictatures en place.
Alger, années 90. Nedjma, 18 ans, étudiante habitant la cité universitaire, rêve de devenir styliste. A la nuit tombée, elle se faufile à travers les mailles du grillage de sa résidence avec ses meilleures amies pour rejoindre la boîte de nuit où elle vend ses créations aux « papichas », jolies jeunes filles algéroises.
La situation politique et sociale du pays ne cesse de se dégrader. Refusant cette fatalité, Nedjma décide de se battre pour sa liberté en organisant un défilé de mode, bravant tous les interdits. « Papicha » raconte ainsi de manière très touchante l’histoire d’une jeune fille prête à totalement s’engager pour continuer à faire vivre sa passion et atteindre son rêve.
une avant-première est prévue au cinéma Les Scala en présence de la réalisatrice Mounia Meddour le 11 octobre à 20h45
Cast: Lyna Khoudri, Shirine Boutella, Amira Hilda Douaouda, Zahra Doumandji, Yasin Houicha, Nadia Kaci, Meryem Medjkane Production: avec la collaboration de Fadette Drouard Scénario: Mounia Meddour Caméra: Léo Lefevre Genre: drame, fiction Durée: 105 minutes Langue: arabe et français avec sous-titres df
Festival International des danses et folklores d’Orient – Esquisse d’Orient
@ Festival International des danses et folklores d'Orient - Esquisse d'Orient
Esquisse d’Orient, Festival International des danses d’Orient, Fribourg
10è anniversaire, 17 au 20 octobre 2019
Le Festival international Esquisse d’Orient est organisé chaque année depuis 2010, à Fribourg. Il met à l’honneur l’art de la danse orientale et accueille les plus grands artistes provenant de l’étranger. En octobre prochain il déroulera un magnifique programme marquant sa 10ème édition.
Le Festival a été lancé en 2010. Il est porté par Maryam Ribordy, danseuse professionnelle irano/suisse installée dans notre pays dès 1987. Depuis 2003 déjà qu’elle enseigne, à Fribourg et à Lausanne, les danses orientales, qu’elle compose et met en scène des chorégraphies originales parfois classiques, parfois modernes, mettant en valeur les musiques et les folklores d’Orient.
Il a fallu plusieurs années pour que cet événement devienne la référence en suisse et soit reconnu au niveau international. Il vise à mettre en valeur toutes les richesses des pays du monde oriental : du Maghreb à l’Inde, en passant par le berceau égyptien ou les cultures du Golfe Persique. Les danses orientales sont très riches, la forme peut être noble et classique, ou plus folklorique, avec différents costumes et accessoires. De plus, de nombreuses influences culturelles l’ont imprégnée, tirées de styles traditionnels (Bollywood, flamenco, salsa par ex.) ou plus modernes (jazz, tribal fusion, danse contemporaine par ex.).
Dr Mo Geddawi, artiste et chorégraphe de renommée internationale, parraine et accompagne le festival depuis sa création. Il fait partie des pionniers ayant importé la danse orientale en Europe et en Amérique. Co-fondateur de la célèbre Reda Dance Troupe d’Egypte, fondateur de la Hathor Dance Troup de Berlin, il a également reçu différents awards en Egypte et à San Francisco. Il sera bien sûr présent du 17 au 20 octobre à Fribourg.
Soirée d’ouverture, le 17 octobre. Elle mettra à l’honneur les 80 ans du parrain du Festival Dr Mo Geddawi. Il racontera l’évolution de la danse orientale, ses anecdotes, ses rencontres dans le cadre chaleureux de Fribourg, puis quelques prestations de danse seront suivies d’un repas.
Café Théâtre Le Tunnel, dès 18h30.
La compétition, le 18 octobre. Le jury devra évaluer des danseurs et danseuses répartis en 4 catégories différentes, d’une part parmi les professionnels et d’autre part parmi les amateurs. Ouvert au public.
Aula du Collège St-Michel, 20h.
Les workshops, du 18 au 20 octobre. 12 sessions sont proposées.
Ecole des danses d’Orient Maryam, Varis 9, Fribourg.
Soirée de Gala, le 19 octobre. Elle constitue le temps fort de l’événement. Ouvert au grand public, aux amateurs de danses et de cultures orientales, cette soirée accueillera sur scène de véritables artistes et enseignants, ou encore musiciens : Mohamed Kazafy (Egypte), Munique Neith (Brésil-Espagne), Elena Eleffteriou (Grèce), Touria Karam (Maroc-France), Maryam Ribordy (Iran-Suisse), qui seront accompagné(e)s par des danseurs et danseuses semi-professionnel(le)s ou professionnel(le)s.
Arab women have been stereotyped as ‘voiceless’ and ‘submissive’ to traditional oppressive patriarchal regimes. However, the fact is, Arab women have historically been & continue to be in the front-lines of the fight for democracy and human rights in the Middle East. This struggle is not new, it has been witnessed repeatedly, as manifested in the fight against colonialism to the contemporary recent revolts against corrupt and unjust regimes. This is evident in women’s bold and significant participation, alongside men, in the revolutions that have swept the Middle East since 2011, including women’s active roles in the ongoing revolts in Lebanon, Algeria, Sudan, Iraq, Tunisia & Egypt.
Accordingly, as part of the Gender & Diversity month, The MENA Student Initiative is excited to warmly welcome you to participate in our event titled « Arab Women in the Front-lines of Revolutions ».
The event will take place on Tuesday 26th November, from 4-6 pm in Auditorium 2 at the Graduate Institute.
We will screen the renowned film « Feminism Inshallah, A History of Arab Feminism » by the filmmaker & author Feriel Ben Mahmoud. The film features previously unreleased archival footage and exclusive multi-generational interviews, tracking women’s historic & significant contributions within the fight for human rights.
Following the film, we will have a discussion between the audience and the panel.
Then, we welcome all participants to join us in the entrance lobby of Petal 2 to continue our discussions in a more relaxed atmosphere over drinks and food.
The panelists include:
* Paola Salwan Daher (Lebanon): is the Senior Global Advocacy Advisor at the Geneva Office of the Center for Reproductive Rights. Her work focuses mainly on advocacy at the Human Rights Council and its mechanisms and on the sexual and reproductive health and rights of women and girls affected by conflict. She currently sits on the Board of the Urgent Action Fund for Women’s Human Rights. She previously worked at the Cairo Institute for Human Rights Studies, the Center for Research and Training on Development – Action in Beirut, where she was also a member of the Feminist Collective/Nasawiya.
* Zahra Al Sagban (Iraqi): an activist and a political scientist from Iraq. Zahra wrote her thesis on the social history of Iraqi women and also discussed the work of NGOs in Iraq after 2003.
* Maryam al Khawaja (Bahrain): a leading voice for human rights and political reform in Bahrain and the Gulf region. Maryam played an instrumental role in the pro-democracy protests in Bahrain’s Pearl Roundabout in February 2011. Due to her human rights work, she was subjected to assault, threats, defamation campaigns, imprisonment and an unfair trial. Maryam serves on the Boards of the International Service for Human Rights, Urgent Action Fund, CIVICUS and the Bahrain Institute for Rights and Democracy.
We look forward to warmly welcoming you and having you participate in our event on this pertinent and major subject.
Grütli (Genève) & Centre de Culture ABC (La Chaux-de-Fonds)
REGARDS DE RÉALISATRICES PALESTINIENNES
Pour sa 8ème édition, PFC’E a choisi de mettre en avant les regards de réalisatrices palestiniennes, afin de participer à la nouvelle dynamique des luttes des femmes qui, en 2019, sont enfin entendues dans de nombreux pays, y compris en Suisse avec la grève des femmes du 14 juin. En Cisjordanie et à Gaza, début septembre, plusieurs milliers de femmes et d’hommes dénonçaient le meurtre d’une jeune femme par des membres de sa famille et réclamaient une loi pour protéger les femmes.
Depuis 10 ans, plus de 50 % des cinéastes palestiniens sont des femmes, dont beaucoup sont nées et vivent en Cisjordanie et à Gaza. Les jeunes réalisatrices marchent dans les pas de leurs ainées, et toutes affrontent le monde de la production cinématographique encore difficile d’accès pour les femmes, …en Palestine, comme ailleurs! Mais elles doivent en plus surmonter le conservatisme présent dans la société palestinienne.
L’édition 2019 donne un aperçu de la richesse et des sensibilités spécifiques qui se dégagent de leurs réalisations. D’une part, la résistance quotidienne contre l’occupation israélienne et la dépossession de leurs terres est omniprésente et les réalisatrices ne manquent pas de montrer les conséquences particulières de cette réalité sur les femmes, par ex. lors de la 1ère Intifada. Leurs films évoquent aussi la force des traditions artistiques comme la musique et la broderie, ou encore l’importance de l’Histoire et de la mémoire. Enfin, elles font éclater les stéréotypes culturels et abordent des questions sensibles, considérées souvent comme tabou dans la société patriarcale et par leurs collègues masculins : l’inceste, les féminicides, les choix amoureux assumés, les tortures sexuelles infligées aux prisonnières-prisonniers, les déceptions lors du retour tant rêvé au pays.
Cette 8ème édition rend hommage à Jocelyne Saab, cinéaste libanaise décédée en janvier, en projetant les films qu’elle a réalisés sur les Palestinien.ne.s entre 1974 et 1982.
PFC’E souhaite la bienvenue aux réalisatrices invitées Buthina Canaan Khoury, Mariam Shahin, Ghada Terawi, Zeina Ramadan et Shayma Awawdeh ainsi qu’au public dans les nouveaux lieux qui accueillent PFC’E, les Cinémas du Grütli et Fonction : Cinéma, où se tiendront discussions et débats thématiques avec nos invitées.
SOIREE D’OUVERTURE, EN PRÉSENCE DE TOUTES NOS INVITÉES : Buthina Canaan Khoury, Mariam Shahin, Ghada Terawi, Zeina Ramadan et Shayma Awawdeh
Jeudi 5 décembre à 19:00 à l’Orangerie, rch Grutli, avec verrée
BUFFET ORIENTAL, tous les autres jours, au bar de la salle Langlois
Algérie
2002
160′
HD file
vo st fr
Malek Bensmaïl : Algérie(s)
Grütli LangloisÉpisode I & II *23.01.2020 – 19:15
Épisode I *23.01.2020 – 19:15
Épisode II *23.01.2020 – 21:45 * en présence du réalisateur/trice.
Ce film enquête en deux épisodes sur les coulisses du pouvoir et de l’histoire contemporaine algérienne des décennies 80 et 90.
Un peuple sans voix décrit la montée du fondamentalisme islamiste par des moyens légaux avec la complicité de puissances étrangères.
Il s’inscrit entre le premier acte violent d’envergure des émeutes d’octobre 1988, quand l’armée tire sur le peuple et se termine, après l’annulation des résultats des élections législatives de décembre 1991, par l’assassinat du président Boudiaf en juin 1992.
Une terre en deuil couvre « la décennie rouge ». Avec trois principales phases de violence : le terrorisme ciblé (1992-1994), l’internalisation du terrorisme (à partir de 1995) et la période des grands massacres (à partir de 1997).
La deuxième partie questionne la responsabilité des violations de droits de l’homme. Elle décrit aussi les différentes négociations avec les islamistes et tente de lever le rideau sur « le cabinet noir » qui préside aux destinées de l’Algérie.
Que disent vraiment les sources scripturaires de l’Islam concernant la femme?? Il y a t-il une égalité ontologique entre Adam et Eve? En quels vocables l’économie de la Parole Sacrée exprime t-elle la femme, le féminin, et l’homme ?
Quelle fonctions sacrées pour la femme en tant que matrice universelle de la vie ?Est-elle supérieure à l’homme? Oui mais comment ! Le professeur Boumédiène Ben Yahiâ ose le dire à la lumière des sources scripturaires coraniques ! Dans cette conférence, cet éminent islamologue, linguiste, conférencier et chercheur indépendant, fondateur de la chaîne Kalima TV tentera de répondre à toutes ces problématiques ambiguës selon l’esprit coranique et les finalités spirituelles universelles, là où en réalité seule une énigme, un secret pourra nous apporter ces réponses si précieuses pour les enjeux actuels.
?Vous voulez y assister c’est ici:?
https://www.facebook.com/events/1046704712364800/
Originaire de Tlemcen, la perle du Maghreb, il sillonne l’Europe depuis deux décennies. Nourrit depuis son plus jeune âge par une longue tradition prophétique spirituelle, il s’est ancré dans les études d’islamologie et de linguistique et particulièrement de la philologie des langues, le symbolisme sacré. Il a étudié notamment à l’Université de Provence , la Faculté Jean Monet Paris Sud ainsi qu’à l’Université de Créteil Paris 12. Il s’intéresse de manière profonde à la parole de Dieu et de son impact sur les êtres depuis de nombreuses décennies à la lumière d’une sacralité initiatrice globale, une ubiquité totale au quotidien…
Cette « conférence » n’est qu’une première étape d’une longue série de conférences et ateliers pour l’année 2020 :
– Initiation à la terminologie de l’Islam, le 14 mars 2020, Paris.
– Islâm Imân Ihsân : les trois degrés du parachèvement, le 21 mars 2020, Genève.
– Le temps, l’homme et Dieu, 28 mars 2020, Paris.
– Initiation à comment interpréter les Signes de Dieu ?, le 11 avril 2020, Genève.
– Les X commandements à la lumière du Coran, le 06 juin 2020
– Avoir un parent ou un proche toxique, peut il être une source de la destruction personnelle, âme et esprit : quels remèdes spirituels ?
– L’air numérique et le Coran : quels enseignements pour notre temps ?
—————————–La liste n’est pas exhaustive—————
A Khartoum, la rue a chassé du pouvoir en quelques mois Omar al-Bashir après plus de 30 ans d’un régime autoritaire et autocratique. Quel a été le rôle des femmes soudanaises dans cette révolution ?
La révolution soudanaise a remporté d’importantes victoires en permettant un changement effectif de régime. Après la chute de l’ancien Président en avril 2019, le retrait du Conseil Militaire de Transition en juillet et un accord constitutionnel en août, le réveil populaire des soudanais·es ouvre la voie vers plus de justice sociale et de répartition des richesses. Ce mouvement regroupe différentes catégories de population. Les femmes en particulier ont joué un rôle prépondérant au cœur des mobilisations citoyennes. N’hésitant pas à rompre les codes sociaux et à manifester contre l’autorité, elles ont été particulièrement visibles et médiatisées. Dans une société conservatrice et patriarcale, comment celles-ci ont émergé en tant qu’actrices politique et social incontournable ? Cette lecture de la place des femmes dans la révolution est-elle biaisée par une analyse occidentalo-centrée, ou la révolution a-t-elle effectivement profondément ébranlé les codes culturels et sociaux soudanais ?
Le reportage Soudan : la révolution des femmes présente le combat de femmes n’hésitant pas à prendre part aux manifestations pour l’avenir de leur pays mais aussi pour l’égalité et l’émancipation.
Alaa Salah Ali Taha Militante, figure de la Révolution soudanaise
Tahani Abass Journaliste et activiste des droits des femmes
Modération par
Christophe Ayad Grand Reporter, Le Monde
A Khartoum, la rue a chassé du pouvoir en quelques mois Omar al-Bashir après plus de 30 ans d’un régime autoritaire et autocratique. Quel a été le rôle des femmes soudanaises dans cette révolution ?
La révolution soudanaise a remporté d’importantes victoires en permettant un changement effectif de régime. Après la chute de l’ancien Président en avril 2019, le retrait du Conseil Militaire de Transition en juillet et un accord constitutionnel en août, le réveil populaire des soudanais·es ouvre la voie vers plus de justice sociale et de répartition des richesses. Ce mouvement regroupe différentes catégories de population. Les femmes en particulier ont joué un rôle prépondérant au cœur des mobilisations citoyennes. N’hésitant pas à rompre les codes sociaux et à manifester contre l’autorité, elles ont été particulièrement visibles et médiatisées. Dans une société conservatrice et patriarcale, comment celles-ci ont émergé en tant qu’actrices politique et social incontournable ? Cette lecture de la place des femmes dans la révolution est-elle biaisée par une analyse occidentalo-centrée, ou la révolution a-t-elle effectivement profondément ébranlé les codes culturels et sociaux soudanais ?
Le reportage Soudan : la révolution des femmes présente le combat de femmes n’hésitant pas à prendre part aux manifestations pour l’avenir de leur pays mais aussi pour l’égalité et l’émancipation.
Documentaire, 2019, CH, VOSTFR & ALL, 1h20′, Age légal/suggéré: 8/14
Tous les jours à 17h15 dans la salle Patricia Plattner
Le Caire, mégalopole de 20 millions d’habitants, a récemment subi de nombreux bouleversements politiques, culturels et économiques, obligeant la société égyptienne à se réinventer. Dans ce contexte instable, Fiancées est une immersion dans la vie quotidienne des jeunes égyptiens sur le long chemin menant au mariage. En Égypte, on ne vit jamais seul et on ne quitte le foyer de ses parents que pour fonder le sien, après s’être marié(e). Quel que soit le désir intime de chacun, le mariage est l’étape indiscutable pour accéder à l’indépendance. Fil rouge du film, le chemin vers le mariage s’incarne au travers de trois couples. Batool et Bassam sont des comédiens en devenir qui luttent pour l’équilibre de leur relation. Entre l’attente de leur futur appartement et les pressions familiales, l’harmonie de leur couple est fragile. Marize et Ramy sont chrétiens et issus d’un milieu aisé, ils rêvent d’un mariage parfait et d’accéder à la sexualité. Souhaitant à la fois utiliser la contraception après leur mariage et respecter les traditions imposées par l’Église, ils incarnent une jeunesse à la fois occidentalisée et traditionnelle. Randa et Abdelrahman viennent d’un milieu traditionnel musulman et aspirent à plus de liberté au quotidien. Les revendications de Randa pour l’égalité des sexes se heurtent aux coutumes de la société.
LES FEMMES DANS LES DISCOURS FRÉRISTES, SALAFISTES ET FÉMINISTES ISLAMIQUES
Une analyse des rapports de force genrés
Première recherche en profondeur d’analyse des discours des acteurs clés des mouvances majeures dites de l’islam politique et de l’islam piétiste au sein de la scène francophone et du monde arabe.
Une enquête de moyen-long terme, bien inscrite dans son contexte, qui adopte une perspective comparatiste qui permet de complexifier le regard en montrant la diversité des positionnements. À partir de cette étude de terrain inédite, Leïla Tauil analyse les postures des acteurs fréristes, salafistes et des actrices féministes islamiques relatives à la place des femmes au sein des espaces privé et public et de la question du voile tout en apportant des éléments réflexifs et critiques qui ne manqueront pas d’enrichir les débats actuels relatifs à ces sujets névralgiques.
Quelle est la place des femmes, au sein des espaces privé et public, dans les discours des acteurs fréristes et salafistes et quelles sont leurs positions respectives à propos du voile ? La présence d’actrices féministes islamiques, intervenant au sein de la mouvance frériste, engendre-t-elle une remise en question des postulats véhiculés par les acteurs religieux ? À partir d’une recherche de terrain, Leïla Tauil répond à ces questionnements qui s’avèrent d’une grande actualité.
L’Auteure
Enseignante à l’université de Genève et membre du Centre interdisciplinaire d’études de l’Islam dans le monde contemporain, Leïla Tauil est spécialiste de la question des femmes et de l’islam, des féminismes islamiques, des féminismes arabes séculiers et de l’œuvre de Mohammed Arkoun. Elle est notamment l’auteure de l’ouvrage Féminismes arabes : un siècle de combat, les cas du Maroc et de la Tunisie, paru aux éditions L’Harmattan en 2018.
La présentation sera suivie d’une séance de dédicaces.
LES FEMMES DANS LES DISCOURS FRÉRISTES, SALAFISTES ET FÉMINISTES ISLAMIQUES
Une analyse des rapports de force genrés Quelle est la place des femmes, au sein des espaces privé et public, dans les discours des acteurs fréristes et salafistes et quelles sont leurs positions respectives à propos du voile ? La présence d’actrices féministes islamiques, intervenant au sein de la mouvance frériste, engendre-t-elle une remise en question des postulats véhiculés par les acteurs religieux ? À partir d’une recherche de terrain, Leïla Tauil répond à ces questionnements qui s’avèrent d’une grande actualité.
Leïla Tauil est spécialiste de la question des femmes et de l’islam, des féminismes islamiques, des féminismes arabes séculiers et de l’oeuvre de Mohammed Arkoun.
Broché – format : 13,5 x 21,5 cm ISBN : 978-2-806-10512-7 • 18 mars 2020 • 248 pages
EAN13 : 9782806105127
EAN PDF : 9782806110671
EAN ePUB : 9782806123176
« Cortex Sumus & El Amraoui + création graphique de J. Lopez »
Ensemble vocal polyphonique d’inspiration corse / Nous sommes l’écorce, partie vivante de l’arbre. / Nous véhiculons la sève à la surface d’une vénérable tradition, attachés à elle car nous l’aimons… / Et pourtant distincts. / Et les corses que nous sommes ? / Sommes-nous, d’ailleurs, de véritables corses pur terroir ? / Nos mères et nos femmes connaissent la réponse et c’est, à nos yeux, la première chose importante.
Quant à l’adage selon lequel : « Si tu veux parler de l’univers, alors parle de ton village ! »… S’il comporte un fond de vérité alors, c’est sûr : chacun de nous héberge au fond de son cœur un village corse. Ombrageux et fier, peut-être… Mais fraternel. Et c’est, à nos yeux, la seconde chose importante.
Au fil des années et des horizons, ces chants nous ont alimentés, transformés. Par delà leur propos gaillard, liturgique, courtois, solennel, cordial, recueilli, désolé ou enthousiaste, nous aimerions les porter, avec chaleur, jusqu’aux oreilles et aux cœurs qui, à leur insu peut-être, hébergent aussi un village – corse ou non – préservé et fraternel.
Polyphonies d’inspiration corse entre tradition et création Rémi Matrat : u bassu Chris LeHache : a secunda Fabrice Mazzolini : a terza avec Mohammed El Amraoui : poèmes en arabe et en français. Jérôme Lopez : création graphique L’instant poétique dissout l’insistant chagrin… Mohammed El Amraoui dit ses poèmes écrits en arabe et en français, les chante aussi, laissant les modulations andalouses et maghrébines se conjuguer avec la polyphonie corse.
Jérôme Lopez dialogue en lien étroit avec les thèmes abordés, illustrant et explorant en direct les liens possibles entre voix et flux vidéographique. Développeur de l’outil «vidéo mallette», il capture et traite divers objets récoltés, végétaux, photographies…
Vendredi 25 septembre à 22h
BILAL IRSHED trio featuring Eloi Calame
BILAL IRSHED est un virtuose et compositeur de musique palestinien résidant actuellement au Danemark. Il est reconnu pour avoir sa propre et unique interprétation de la musique du Moyen-Orient, ainsi qu’un style élégant de jouer du oud. Bilal est également connu pour son propre groupe, Bilal’s Trio, ainsi que pour d’autres ensembles et projets. En 2014, Bilal était le mentor du projet «Grænseløs» avec Jazz Danemark et il agit en tant que chef de groupe pour «Bilal Irshed et Global Tunes.
Bilal est né et a grandi dans le village de Daboryya dans le nord de la Galilée. À l’âge de 13 ans, il a commencé à jouer du Oud et après avoir terminé ses études secondaires, il a déménagé à Jérusalem pour étudier la musique, ici il s’est spécialisé dans le Oud à l’Académie de musique et de danse. Il a rejoint l’orchestre de musique arabe de Nazareth en 2002, avec qui il a tourné et joué dans de nombreuses salles internationales et festivals de musique en Europe.
En 2006, il a déménagé à Zanzibar où il a travaillé comme professeur de musique et directeur artistique à l’Académie de musique Dhow Countries. Il a ensuite déménagé au Danemark en 2008 où il a depuis développé une carrière musicale très réussie.
En 2011, Bilal a sorti deux albums: «Compositions» avec le trio de Bilal et «The Fifth String» avec le Fifth String Ensemble. En 2015, il a sorti deux autres albums «Chronotope» avec Bilal Irshed Trio et «Ineffable» avec Bilal Irshed & Global Tunes.
Samedi 26 septembre à 20h
“Manal and friends”.
Manal Samaan Syrie: chant / Elie Maalouf Liban: Piano, Buzuq et Arrangements / Frederic Folmer France : Acoustic bass. / Youssef Hbeisch Palestine : Percussions
“Manal Samaan et Elie Maalouf se rencontrent en 2016. Ils élaborent ensemble un projet autour d’une passion commune, ce que l’on pourrait appeler “l’âge d’or“ de la chanson libanaise. Leur répertoire se base en particulier sur les chansons de Fairuz et les frères Rahbany de la fin des années 50 à fin 70, ainsi que quelques chansons plus récentes de Ziad Rahbany. On retrouve aussi les chansons de Zaki Nassif et du maitre du bouzouk Matar Muhammad qui a laissé de merveilleuses mélodies, malheureusement attribuées à d’autres…
Tout ce répertoire a été re-pensé, arrangé et harmonisé par le pianiste Elie Maalouf”
Samedi 26 septembre à 22h
Fayçal Salhi Quartet
– Fayçal Salhi Oud
– Damien Groleau piano
– Victor Pierrel Basse
– Paul L’hôte batterie
Fayçal Salhi est un jeune compositeur et joueur de oud remarquable. Il a enthousiasmé les scènes de son pays d’origine, l’Algérie, du Chili, Vietnam, Espagne, Allemagne,.. avec des musiques où la tradition orientale rencontre le jazz.
Un rendez-vous naturel, car les deux genres procèdent de la même attitude, c’est-à-dire l’improvisation dans la rigueur de leurs styles respectifs et le dialogue dans leur soif d’échange et de complicité recherchée.
Précurseur en France de cette fusion, Fayçal joue ses compositions sur tous les continents, emportant des publics aux cultures et aux sensibilités différentes par ses mélodies métisses, son ouverture jubilatoire à d’autres genres.
Cette année la Fête de L’Olivier, qui sera le 6ème Festival des musiques arabes et Méditerranéennes aura lieu du 21 au 25 septembre, à l’Alhambra et à l’Usine et sera aussi le fruit de synergies avec l’Agence Musica et avec Gazouz et l’Usine !
Le 21 septembre à 20h00 à l’Alhambra. Concert organisé par l’Agence musiKa :
Molotof (Egypte) – Live Mahraganat beats– Hip hop
___________________________________
Yunis (Egypte) – Live Minimal shaabi<
___________________________________
Shobra General (Egypte) – Live Marhaganat
___________________________________
Wezza Montaser (Egypte) –[…]
Djam est auteur, compositeur et interprète de musique algérienne actuelle. Djamil Ghouli alias Djam à des rêves plein la tête, il explore les univers musicaux, particulièrement le son africain dont il se nourrit. Résolument engagé à dénoncer les maux sociaux qui entravent la jeunesse algérienne, il fait de Bezzaf, H’chiche ou pois chiche et Dellali des titres repris en chœur par son public à chaque représentation.
Installé en France, Djam suit des études de musicologie. Il a mis un terme à sa participation à Djmawi Africa pour se consacrer pleinement à son projet en solo. Il a constitué autour de lui une nouvelle équipe de musiciens talentueux qui partagent avec lui le groove. Sa musique est très marquée par les influences africaines et le reggae.
Deux autrices à l’écriture puissante se fondent dans l’histoire et les traditions familiales pour évoquer tout en délicatesse l’intégration et le rapport à la langue, les langues. De la France à la Suisse, de Strasbourg à Genève, les destinées se tissent entre Occident, Moyen-orient et Afrique du Nord. Les jeunes générations tracent un chemin nouveau, riche d’un héritage pluriel. Une rencontre à la croisée des routes !
Au plus intime des fantasmes du personnage de madame Akli, reflet d’une Algérie en proie à un souffle d’espérance, se nichent les obsessions chères à l’auteur : le désir, l’amour, le désamour, l’identité, la liberté. Par son écriture tout en sensibilité, charnelle et envoûtante, laissez-vous propulser dans le récit « painted black », satisfaction !
Deux autrices à l’écriture puissante se fondent dans l’histoire et les traditions familiales pour évoquer tout en délicatesse l’intégration et le rapport à la langue, les langues. De la France à la Suisse, de Strasbourg à Genève, les destinées se tissent entre Occident, Moyen-orient et Afrique du Nord. Les jeunes générations tracent un chemin nouveau, riche d’un héritage pluriel. Une rencontre à la croisée des routes !
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.