INSTITUT DES CULTURES ARABES ET MÉDITERRANÉENNES
AGENDA CULTUREL – الدليل الثقافي العربي
La soirée débutera par la projection du film ETERNELLES MIGRATIONS,
réalisé par le cinéaste André Zech.
L’écrivain Sophie Colliex, l’une des intervenantes du film, présentera son univers littéraire et son dernier ouvrage TERRE DE MA MERE, co-écrit avec Djilali Bencheikh.
« Pourquoi part-on ? »
« Comment préserver son identité par delà les départs, les exils ? »
« Peut-on comprendre le passé et l’accepter, pour l’unir au présent et tricoter l’avenir ? » …
seront quelques uns des thèmes abordés lors d’un débat ouvert avec les deux auteurs.
André Zech et Sophie Colliex dédicaceront leurs ouvrages.
Une verrée clôturera la soirée.
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Éternelles migrations / Le temps de l’histoire
D’Alsace à l’Algérie, terres d’où sa famille est originaire, l’auteur invite, à travers les réflexions d’historiens et de témoignages de proches, d’origine pied noir ou algérienne, à s’interroger sur la construction de nos identités.
Passeurs de récits, ces témoins donnent à voir autrement l’histoire de l’Algérie jusqu’en 1962, et de ces Éternelles migrations qui, autour de la Méditerranée, peuvent tisser des liens profonds entre les peuples.
L’auteur invite a être attentif à ce qui réconcilie plus qu’à ce qui divise… un message d’espérance face aux douloureuses tragédies qui marquent trop souvent les destins des exilés.
Réalisation : André Zech
Montage : Pascal Narro
Musique : Gaïmalis
Moyens techniques : Equipage
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Terre de ma mère
Sophie Colliex / Djilali Bencheikh
Le bébé littéraire que nous fécondons ici sera une exception. Son sang, son plasma se nourrit de toutes les veines multiples qui irriguent notre placenta, cette Mer Blanche commune que les temps présents transforment en un immense cimetière marin. Djilali
Je me suis enfermée dans les vieux bouquins et les salles d’archives, décidée à comprendre, enfin, absolument ce qui s’était passé « là-bas ». C’est où, « là-bas » ? C’est quoi, d’abord, « là-bas » ? Djilali, j’étais comme au cinéma. Sophie
Deux regards se croisent ici. En fouillant l’intimité du temps, en transgressant le tabou des silences, Sophie et Djilali cimentent d’autres repères pour l’Histoire.
Ils transfigurent un passé chaotique, fissuré, en émerveillement d’être enfin seulement humains.
Une leçon de vie qui, espèrent-ils, n’en finira pas de résonner et de se répercuter sur la pensée des générations d’aujourd’hui et de demain.
Psychanalyste, Karima Lazali a mené une singulière enquête sur ce que la colonisation française a fait à la société algérienne, enquête dont elle restitue les résultats dans ce livre étonnant. Car elle a constaté chez ses patient∙e∙s des troubles dont rend mal compte la théorie psychanalytique. Et que seuls les effets profonds du « trauma colonial » permettent de comprendre : plus d’un demi-siècle après l’indépendance, les subjectivités continuent à se débattre dans des blancs de mémoire et de parole, en Algérie comme en France.
Elle montre ce que ces « blancs » doivent à l’extrême violence de la colonisation : exterminations de masse dont la mémoire enfouie n’a jamais disparu, falsifications des généalogies à la fin du XIXe siècle, sentiment massif que les individus sont réduits à des corps sans nom… La « colonialité » fut une machine à produire des effacements mémoriels allant jusqu’à falsifier le sens de l’histoire. Et en cherchant à détruire l’univers symbolique de l’« indigène », elle a notamment mis à mal la fonction paternelle : « Leurs colonisateurs ont changé les Algériens en fils de personne » (Mohammed Dib). Mais cet impossible à refouler ressurgit inlassablement. Et c’est l’une des clés, explique l’auteure, de la permanence du « fratricide » dans l’espace politique algérien : les fils frappés d’illégitimité mènent entre frères une guerre terrible, comme l’illustrent le conflit tragique FLN/MNA lors de la guerre d’indépendance ou la guerre intérieure des années 1990, qui fut aussi une terreur d’État.
Une démonstration impressionnante, où l’analyse clinique est constamment étayée par les travaux d’historiens, par les études d’acteurs engagés (comme Frantz Fanon) et, surtout, par une relecture novatrice des œuvres d’écrivains algériens de langue française (Kateb Yacine, Mohammed Dib, Nabile Farès, Mouloud Mammeri…).
Organisé par ICAM – L’Olivier et Coup De Soleil Rhône-Alpes
MERCREDI 1 MAI |
11h-12h Astrig MARANDJIAN
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13h-14h
L’impact des révolutions arabes sur la culture en collaboration avec le FIFOG Farid ABACHE & Tahar HOUCHI
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14h30-15h30
Boualem Sansal recrée le monde Boualem SANSALModératrice : Leïla TAUIL |
16h-17h
L’Algérie à deux voix , Terre de ma mère Sophie COLLIEX & Djilali BENCHEIKHModératrice : Maude BITTAR |
17h30-18h30
Le Trauma colonial Karima LAZALI |
JEUDI 2 MAI |
12h30-14h
France-Algérie : les identités Sonia JASMINE, Karima LAZALI Sabine ZAALENE & Djilali BENCHEIKHModératrice : Leïla TAUIL |
14h15-15h15
L’islam soufi face aux défis contemporains Cisse KANE |
15h30-16h30
La Mariée du Nil Glorice WEINSTEIN |
17h-19h
Quelle Algérie L’ICAM et le Club Diplomatique de Genève reçoivent BOUALEM SANSAL
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VENDREDI 3 MAI |
10h-11h
Les contes imbriqués à l’orientale –atelier scolaire- Animé par Lia LEVEILLÉ METTRAL |
12h-13h
Tunisie,sortir du désenchantement Hakim Ben Hammouda
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13h30-14h30
Naplouse, Palestine Portraits d’une occupation Stéphane AUCANTE |
15h-16h
La guerre au Liban vue par un solitaire Yan MORVAN |
16h30-17h30
Devoir de mémoire Rachedi MABROUCKModératrice : Tamimount SAMMAR |
18h-19h
Identités buissonnières Dominique ZIEGLERModération : Luisa BALLIN
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SAMEDI 4 MAI |
12h30-13h30
Al-Mutanabbi L’autre prophète Mustapha KHARMOUDI |
14h-15h
Lumières du Maroc –avec projection- Fouad LAROUI |
15h30-16h30
Femmes du Maghreb Leïla BAHSAINFatema HALLeïla TAUILModération : Luisa BALLIN |
17h-18h
Turquie libre, j’écris ton nom Nedim GÜRSELModératrice : Luisa BALLIN |
18h30-19h30
Dieu, les mathématiques, la folie Fouad LAROUIPierre-Alain CherixModération : Marc TURIAULT |
DIMANCHE 5 MAI |
10h-11h
Revue Tunisienne de Science Politique Présentation : Itidel FADHLOUN |
11h30-12h30
La Turquie aujourd’hui Sylvie ARSEVER Nedim GÜRSELModératrice : Luisa BALLIN |
13h-14h
Le discours amoureux des épices Fatema HALModérateur : Fouad LAROUI |
15h-16h
Le socialisme arabe Jean ZIEGLERMohamed Abdel Azim Modératrice : Luisa BALLIN |
16h30-17h30
La création poétique en duo Claire DUTREY/ Véronique MOOSER\ Grégory CHIARADIA /Vital HEURTEBIZEModération : Bruno MERCIER |
PROGRAMME EN PDF ET VOTRE INVITATION
Où en est et où va, en France, la deuxième génération de l’immigration ?
Il fallait avoir été, comme Antoine Menusier, le rédacteur en chef du fameux Bondy Blog, le premier média des quartiers sensibles, pour en dresser le récit incarné, en dévoiler la face cachée. Et en retracer, de manière inégalée, la généalogie politique, religieuse, militante.
Comment, à Genève, malgré la montée de l’islamisme, la gauche tiers-mondiste a-t-elle soutenu l’essor de Tariq Ramadan ? Comment, en Île-de-France, avant les attentats du 13 novembre 2015, des imams ont-ils radicalisé leurs fidèles ? Comment, place de la République à Paris, en mai 2016, lors de Nuit Debout, un rappeur a-t-il fait huer le Premier ministre Manuel Valls, alors grand défenseur de l’État d’Israël ?
Qu’en est-il aujourd’hui du ressentiment de ces indésirés ? Pourquoi des activistes, parmi eux, ont-ils mué en « Je ne suis pas Charlie » ou en « Indigènes de la République » ? Quelles fractures annoncent leur décrochage idéologique ? Va-t-on vers un apaisement ?
Faits, portraits, témoignages, décryptages, révélations : voici la chronique vraie et sensible, l’enquête inédite et attendue, l’histoire secrète et documentée d’une jeunesse où l’espoir le dispute à la déception, la solidarité à la violence, le fun à la colère.
Un livre d’intelligence, de coeur et d’objectivité.
Diplômé de Sciences po, longtemps journaliste au Temps de Genève, Antoine Menusier a oeuvré au Bondy Blog à partir de 2007 et en a été le rédacteur en chef de 2009 à 2011.
La rencontre sera suivie d’une verrée.
La Marmite, en tant qu’Université populaire nomade de la culture et mouvement artistique, culturel et citoyen, offre des parcours culturels pluridisciplinaires, sensibles et intellectuels à des groupes de personnes en situation de précarité et/ou peu présentes dans les institutions formelles de la démocratie.
De décembre 2018 à juin 2019, le Groupe Léonard de Vinci – dont les participants sont un groupe d’une quinzaine d’adultes exilé.e.s, pour la plupart, d’origines syrienne, iranienne, kurde, nigériane et tamoul, installé.e.s au centre du Bois-de-Bay par l’Hospice Général – a suivi un parcours fait de sorties culturelles et de rencontres avec des artistes et des intellectuel.le.s. Le Groupe vernit aujourd’hui sa création partagée : une réalisation musicale et sonore.
Une partition auto-portée. En partant de l’idée, d’un côté, du pont autoportant, sans attache, ni support, de Léonard de Vinci, et, de l’autre, de son goût pour la musique, les perspectives sonores et les phénomènes coustiques, les participant.e.s du parcours Léonard de Vinci, ont réalisé une « partition autoportée ».
Coé Blanchard et Florence Terki, médiatrices Robert Clerc, compositeur
production : La Marmite, partenariats : Hospice Général, Comédie de Genève, Fondation l’Abri, Pro Helvetia, Maison de la Créativité, Cinéma CDD, Mamajah-Les Jardins de Loëx.
collaborations : Luis de la Calle (flûtiste), Frank Vercruyssen et Mattias de Koning (comédiens et cofondateurs de la Cie tg STAN), Damiaan De Schrijver et Peter Van den Eede (comédiens et membres de la Cie de KOE et Maatschappij Discordia), Aliocha Imhoff et Kantuta Quirós (commissaires d’exposition – le peuple qui manque), Maryjan Maître (directrice de la Maison de la Créativité), Jean-Pascal Cottalorda (Adjoint de direction de la Fondation l’Abri), Philippe Rohner et Jaky Roland (directeur et directrice de Mamajah), Nadège Gilliéron (assistante sociale en intervention collective) et Louckhombo N’Tangu (intendant).
Nous remercions chaleureusement les interprètes qui ont accompagné activement le parcours, ainsi que la Librairie l’Olivier-ICAM et son directeur, Alain Bittar, pour son accueil enthousiaste.
Simon Mastrangelo est titulaire d’un Master en Lettres (Histoire des religions) de l’Université de Genève. Son travail de mémoire porte sur la réception de l’œuvre de l’orientaliste Louis Massignon. Après avoir travaillé sur un projet de recherche FNS portant sur l’islam en Suisse, il a entamé une recherche doctorale à l’Université de Lausanne sur les migrations non documentées (‘clandestines’) tunisiennes. Sa thèse de doctorat en anthropologie, soutenue en 2017, aborde différents aspects. Il y analyse la façon dont les migrants non documentés tunisiens mobilisent différents arguments pour revendiquer leur droit à la mobilité et remettre en question les politiques migratoires. Il y étudie aussi le regard rétrospectif porté par ces individus sur leur parcours migratoire, plus particulièrement sur la façon dont ils donnent du sens à leur vécu, en faisant par exemple référence à la croyance au destin (maktoub) ou en conférant un caractère héroïque à leur récit.
Simon Mastrangelo viendra nous présenter son livre tout récemment publié ‘Emigrer en quête de dignité. Tunisiens entre désillusions et espoirs’, qui est une adaptation de sa thèse de doctorat.
https://pufr-editions.fr/produit/emigrer-en-quete-de-dignite/
https://www.letemps.ch/societe/simon-mastrangelo-une-these-bruleurs-frontieres
La rencontre sera suivie d’un verre de l’amitié et d’une séance de dédicaces
Il était une fois, « sous l’Olivier » des histoires extraordinaires racontées depuis la nuit des temps pour voyager, sans se déplacer, autour de la Méditerranée.
L’Olivier n’est-il pas l’arbre éternel qui permet de soigner tous les maux ?
Alors, envolons-nous sur un tapis magique à la recherche du bonheur grâce à des histoires rocambolesques qui nous feront découvrir un trésor bien caché, un rêve en apparence inaccessible et l’histoire d’un roi amoureux d’une étoile.
Il était une fois ou peut-être 2, ces histoires sont-elles vraies ou fausses, ça personne ne le sait : l’important étant de rêver « sous l’Olivier », en bonne compagnie…
Pour des raisons de santé, la conteuse Evelyne Merlach remplacera Martine Pasche
La soirée est complète
126 battements de cœur pour animer la Genève internationale ; 126 histoires de vie inspirantes, pour presque autant de nationalités présentes à Genève ; 126 projets économiques, humanitaires, culturels, sélectionnés par l’auteur, qui font voyager le nom de Genève aux quatre coins de la planète. À l’heure de fêter le 100e anniversaire de la première réunion à Genève de la Société des Nations, ce livre est un hommage au multilatéralisme et surtout à la société civile genevoise. À ces personnalités qui la confirment comme capitale des droits humains et de la paix, comme terre d’accueil et d’opportunités, où tout est possible, le dialogue et le changement. Un lieu où l’humanité a toutes les cartes en mains pour se réinventer.
La rencontre sera modérée par Luisa Ballin
Après la publication d’un roman, Au bonheur de Yaya, qui traite notamment d’émigration, Zahi Haddad revient au point central de ses études qui l’ont mené de l’université de Genève à la Columbia University de New York : les relations internationales et la façon dont elles s’imbriquent et façonnent les êtres humains. Auteur, entrepreneur, bloggeur, pétri d’une grande culture internationale, Zahi Haddad a mis toute son expertise et son empathie au service de ces 126 battements de cœur et, en dix-huit mois de recherches et de rencontres, a dressé des portraits uniques, avec passion et authenticité.
Vous pouvez également réserver par mail un exemplaire du livre de Zahi Haddad qu’il pourra vous dédicacer après payement.
ATTENTION:
LA VIDEO NE SERA DISPONIBLE SUR CETTE PAGE QUE DÈS
Vendredi 12 février à 18h30
Christian Lecomte sera accueilli par Luisa Ballin
« Mon vrai nom est Nissam mais j’ai commencé à le perdre quand maman a sauté par la fenêtre de notre tour parce que j’avais tué par accident un chrétien roumi de Montreuil. Je suis monté dans un bateau et j’ai traversé en clandestin l’océan algérien. J’ai vécu dans le zoo abandonné du Hamma d’Alger avec le vieux Baba Saha qui est muet et l’ours Natacha qui est aveugle.
Au Djebel Koukou, je suis devenu un enfant terroriste et les moudjahidines m’ont appelé Tom Algéri parce que je lisais des Tom et Jerry. Ensuite j’ai été une cellule dormante et j’ai eu d’autres noms.
J’ai habité dans une ambassade à Alger, sous un pont à Genève, dans un wagon, une résidence pour le grand âge, un couvent, une maison déchirée au bout de la piste de l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle et puis dans une grotte de la préhistoire. J’ai trahi le djihad islamique parce que j’ai sauvé des gens pendant les attentats. Alors je me suis caché dans les yeux de Livia. Elle vit dans un fauteuil roulant et elle chante comme Edith Piaf. C’est une étoile. »
Un roman bouleversant, écrit dans un style à la fois poétique et cru, qui nous plonge dans les origines du mal et de la manipulation. Avec, au bout de la cavale, un horizon d’espoir ; car quand la conscience émerge, rien n’est jamais perdu.
Ce livre a reçu le prix du Roman des Romands en 2021.
Journaliste né le 1er juillet 1957, Christian Lecomte a vécu six années à Sarajevo où il a couvert le siège de la capitale bosniaque pour les journaux français Ouest-France et Le Monde. Puis il a été, de 1999 à 2005, correspondant pour Le Temps et la Radio suisse romande en Algérie.
Il a publié entre autre Sarajevo, ville captive chez Syros avec le photographe Jérôme Brézillon et un roman Le jour où j’ai tordu mon pied dans une étoile chez Desclée de Brouwer (prix spécial de l’UNICEF en 1998).
En 2010, Christian Leconte a publié aux éditions Zoé un roman illuminé par le soleil âpre et doux d’une Algérie livrée à ses démons et bercée par le spleen, L’Interdite d’Alger.
Il vit actuellement à Genève et travaille pour Le Temps.
Christian Lecomte a eu 17 ans en 1974.
Vous pourrez suivre la rencontre avec Leila Bahsain et Luisa Ballin sur ce site
le 7 avril à18h30
Leïla Bahsaïn « La Théorie des aubergines »
Sous la houlette optimiste du chef Achour, convaincu des bienfaits de l’esprit collectif et de l’entraide, cette jolie assemblée d’âmes brisées va apprendre à s’apprivoiser en se réconciliant avec les saveurs de la vie.
On retrouve la lucidité et la verve caustique de Leïla Bahsaïn, prix Méditerranée pour Le ciel sous nos pas, dans ce nouveau roman savoureux et généreux sur l’art de se réinventer. Comme une recette de bonheur pour les temps difficiles.
Leïla Bahsaïn est franco-marocaine, elle vit à Besançon. Après avoir été conseillère en réinsertion, elle s’occupe désormais d’une association qu’elle a fondée au Maroc, qui se consacre à l’alphabétisation des femmes. Elle a reçu le prix de la nouvelle de Tanger. Elle a publié chez Albin Michel Le Ciel sous nos pas, prix Méditerranée du premier roman 2019, qui a été en lice pour le prix France-Télévision, le prix Cazes et le prix de la Littérature arabe.
LA VIDEO SERA VISIBLE LE 23 juin dès 18H30
Aide et Action s’associe à l’ICAM-L’Olivier
et vous invite pour une soirée d’échange.
LE 16 SEPTEMBRE 2021 À 18H30
À LA LIBRAIRIE L’OLIVIER,
5, RUE DE FRIBOURG, 1201 GENÈVE
Qu’est-ce qu’une rentrée scolaire inclusive et équitable ?
Comment abattre les cloisons qui empêchent encore de nombreux enfants de vivre une instruction loin
des préjugés et des discriminations liées au genre, à l’origine ou au handicap ?
Des intervenant-e-s impliqué-e-s en Suisse et à l’international
sont conviés à s’exprimer sur ces questions.
Invités :
Abdeljalil Akkari, Professeur à Faculté de Psychologie et des Sciences
de l’Éducation, Université de Genève
Mathieu Crettenand, Délégué à l’intégration et responsable du programme Horizon académique, Université de Genève
Modération :
Mohamed Musadak, Journaliste (Le Courrier)
Pour des raisons liées à la situation sanitaire, le nombre de participant-e-s à l’événement est limité.
Inscription obligatoire à l’adresse suivante : infosuisse@aide-et-action.org
Andrea Pappalardo IustopiaVincent Chetail Graduate Institute, GenevaJacopo Giorgi UNHCR Michele Cavinato |
Richard Watts HR MaritimeCaroline Abu Sa’Da SOS MEDITERRANEE SuisseGiuseppe Caccia MEDITERRANEA Saving Humans Vittorio Alessandro |
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For any information: andrea.pappalardo@iustopia.com
Témoigner par tous les temps, raconter l’Histoire, le dessin en première ligne !
Auteurs: Nadia KHIARI ; Patrice PERNA
Modératrice : Magali BOSSI
La dessinatrice tunisienne Nadia Khiari et le journaliste auteur de BD Patrice Perna se rencontrent pour la première fois au salon du livre en ville de Genève. Oubliés, révoltés, anonymes, comment porter les voix qui ont fait l’Histoire ? Engagements et enquêtes, en traits et en bulles, les printemps arabes et la seconde guerre mondiale se dessinent
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