INSTITUT DES CULTURES ARABES ET MÉDITERRANÉENNES
AGENDA CULTUREL – الدليل الثقافي العربي
Alfred Basbous was born in Rachana, Lebanon in 1924. His first exhibition in Beirut, at the Alecco Saab gallery in 1958, marked the beginning of a long and successful career as a sculptor.
In 1960, he received a scholarship from the French government and became a pupil of the sculptor René Collamarini at ‘The National Fine Arts School in Paris’ (L’Ecole Nationale des Beaux-Arts de Paris). In 1961, his works were included in the International Sculpture Exhibition at the Musée Rodin, in Paris.
From 1994 to 2004, Basbous organized the International Symposium of Sculpture in Rachana, Lebanon, where famous sculptors from around the world were invited to create, sculpt and exhibit their works alongside his own.
Throughout his life, Basbous won many awards including the «Prix de l’Orient» in Beirut in 1963 and the price of Biennale in Alexandria in 1974. When he died in 2006, the President of the Lebanese Republic, in order to honor him, awarded him the «Medal of the Lebanese Order of Merit in Gold.»
Basbous’s works express a lifelong exploration of the human form and its abstract properties. Focused on the aesthetic principles of shape, movement, line and material, his sculptures display a deeply ingrained sincerity and a search for the essence of beauty. Working in the tradition of sculptors such as Auguste Rodin, Jean Arp and Henry Moore, Alfred Basbous explores the potential of noble materials such as bronze, wood and marble to express the sensuality and purity of the human form. This aversion towards frivolous and meaningless embellishments echoes his own philosophy of simplicity
and earnestness.
The works of Alfred Basbous are part of numerous public and private collections throughout the world, including the Ashmolean Museum in Oxford and the Musée Rodin in Paris. His monumental works are present in the public areas of Beirut and many Lebanese cities.
Maram al-Masri
Poésie
.
Participe à de nombreux festival de poésie et des lectures en France et à l’étranger. Participe également à des ateliers d’écriture et de lecture.
Prix Adonis, 1997 pour la meilleure création arabe
Prix d’Outom Gens de Lettres, 2007
Primio citta di claperzzati pour la poésie de la méditerranée
Septembre 2017-Juin 2018 : Résidence Île-de-France avec la Biennale internationale des poètes en Val-de-Marne, Ivry-sur-Seine, 94. remue.net/spip.php?rubrique1075 & www.m-e-l.fr/fiche-residence.php?id=16
Bibliographie
– Cerise rouge sur une carrelage blanc, éditions Phi
– Je te regarde, éditions Al Manar
– Je te menace d’une colombe blanche, Seghers
– Les âmes aux pieds nus, Le Temps des Cerises
– Le retour de Wallada, éditions Al Manar
– Par la fontaine de ma bouche, éd. Bruno Doucey, 2011
Rencontre avec Gérard Bejjani autour de son dernier titre « Chant des 5 saisons »
201 poèmes de Gérard Bejjani et 51 dessins de Elie Khoury.
Le tout regroupé dans un recueil de poésie à classer dans la catégorie ‘Beaux Livres’ de votre bibliothèque.
‘‘Le poème ne peut pas mourir. Ni l’oiseau. Ni la source.
Sinon l’homme n’est plus semblable à l’homme.
J’écris le poème pour accueillir le matin.
Sombre ou riant, peu importe.
J’attends tous les ans que le printemps revienne, que les pousses et les corolles frémissent, que l’herbe s’enchante sous mes pas.
Alors seulement je m’en vais au bord de plages, je m’assieds sur le rivage et j’écoute les écumes chanter de loin, de leurs voix familières, la chair nue et le bleu dans les yeux.
Ainsi est né le recueil de quatre saisons.
Comme une longue route qui commence dans l’angoisse et conduit à la mer. Mais même avec elle, même en elle, le cœur languit. Il cherche plus de soleil, une autre vérité, plus d’amour. Je me suis alors invité, pour l’apaiser, une cinquième saison qui n’a pas de nom, qui est comme une histoire sans terme et sans pensée.’’
Gérard Bejjani est Professeur-Chercheur de littérature et de cinéma à l’Université Saint-Joseph, Directeur de l’Université Pour Tous et titulaire de la Chaire Senghor de la francophonie de Beyrouth. Critique, romancier et poète, il publie plusieurs articles dans des revues scientifiques, deux ouvrages de didactique, puis La Parenthèse (2012), Daniel (2013), Écumes (2014), Brumes, Glaces, Pousses (2015) et une anthologie, La Bibliothèque en 2018.
Toute œuvre d’art est, d’une certaine manière, un autoportrait. Du camp palestinien de Sabra où il est né et a vécu l’essentiel de sa vie, Abdul Rahman Katanani travaille la matière : la tôle ondulée de ses toits, le béton de ses murs, les fils électriques qui pendent de ses hauteurs, les entremêlements de ses barbelés, ses barils. Mais ce portrait TOTAL, c’est aussi celui du pétrole et de ceux qui l’exploitent. C’est encore ce pigeonnier, où la liberté ne peut être qu’imaginée. C’est finalement ce petit garçon de bleu vêtu qui joue avec un pigeon. Katanani prend tout ce qu’il a sous la main, tout ce qu’il porte en lui, la joie de l’enfance y compris, et en fait de l’art. Il projette, dessine et crée un art d’indocilité et de poésie.
All works of art are, in one way or another, self-portraits. Born in the Palestinian camp of Sabra where he lived most of his life, Abdul Rahman Katanani works with the materials that surround him: the corrugated iron on the camp’s roofs, the concrete on its walls, the electric wires hanging from its heights, the intertwining barbed wire, the barrels. But this TOTAL portrait is also one of oil and of those who exploit it. It is yet this dovecote, where freedom can only be imagined. And finally it is that squatting little boy, dressed in blue, playing with a pigeon. Katanani takes everything he has on hand and inside him, including the joy of childhood, and transforms everything into projects, drawings and art. An art of unruliness and poetry.
EXPOSITION DU 17.07 au 31.07 ; et sur RV uniquement durant le mois d’août
VENDREDI 17 JUILLET | 18:00 – 21:00
19h30 L’Air Oriental : musique de Mohamed Suhir Barakat à
l’oud et Pascal Maillard à la clarinette
13h
15h Lecture de textes poétiques dédiés, par Barbara Polla
dès
18h
Présentation des expositions AUTOPORTRAIT TOTAL SELFPORTRAIT
et «La Pièce manquante» par Abdul Rahman Katanani
et Barbara Polla
DIMANCHE 19 JUILLET | BRUNCH | 12:00 – 16:00
13h Conversation entre Pierre Hazan, conseiller senior en matière
de justice de transition auprès du Centre pour le Dialogue
Humanitaire et membre du Law and Peace Practice Group de
l’Institute for Integrated Transition, et l’artiste Abdul Rahman
Katanani
15h Lecture de textes poétiques dédiés, par Barbara Polla
En partenariat avec Alain Bittar, la galerie Analix Forever vous invite également
à visiter l’exposition «Lignes de Fractures», avec Abdul Rahman Katanani
et Julien Serve, à L’Institut des Cultures Arabes et Méditerranéennes
(ICAM), Rue de Fribourg 5, 1201 Genève
EXPOSITON DU 17.07 au 31.07.2020 et sur RV en août
L’ensemble de ces événements sera géré selon les règles sanitaires en vigueur
Toute œuvre d’art est, d’une certaine manière, un autoportrait. Du camp palestinien de Sabra où il est né et a vécu l’essentiel de sa vie, Abdul Rahman Katanani travaille la matière : la tôle ondulée de ses toits, le béton de ses murs, les fils électriques qui pendent de ses hauteurs, les entremêlements de ses barbelés, ses barils. Mais ce portrait TOTAL, c’est aussi celui du pétrole et de ceux qui l’exploitent. C’est encore ce pigeonnier, où la liberté ne peut être qu’imaginée. C’est finalement ce petit garçon de bleu vêtu qui joue avec un pigeon. Katanani prend tout ce qu’il a sous la main, tout ce qu’il porte en lui, la joie de l’enfance y compris, et en fait de l’art. Il projette, dessine et crée un art d’indocilité et de poésie.
All works of art are, in one way or another, self-portraits. Born in the Palestinian camp of Sabra where he lived most of his life, Abdul Rahman Katanani works with the materials that surround him: the corrugated iron on the camp’s roofs, the concrete on its walls, the electric wires hanging from its heights, the intertwining barbed wire, the barrels. But this TOTAL portrait is also one of oil and of those who exploit it. It is yet this dovecote, where freedom can only be imagined. And finally it is that squatting little boy, dressed in blue, playing with a pigeon. Katanani takes everything he has on hand and inside him, including the joy of childhood, and transforms everything into projects, drawings and art. An art of unruliness and poetry.
EXPOSITION DU 17.07 au 31.07 ; et sur RV uniquement durant le mois d’août
Parce qu’une émotion non exprimée reste une émotion emprisonnée..Qui comprime ta poitrine…
Ce recueil inspirée de situations vécues t »offre des textes, des poèmes, des images… qui feront écho en Toi et qui sait…T’ incitera peut-être toi aussi à saisir ta plume…
Re-cueille d’E-mot-si-on »
Et si on cueille les mots…. pour « ac-cueillir » nos « é-mot-ions »…les libérer, les apprivoiser…
Véritable « écri-thérapie », ce recueil t’offre un cadeau profond et lourd de sens sur une note moderne de légèreté
Souad Moumou
La plupart des gens ne souhaitent pas bousculer « leur zone de confort »… Ils sont trop « attachés » à la fausse lumière de ce bas monde… si bien qu’ils ont oublié qu’ils allaient mourir eux aussi pour revivre…
Ce qui compte ce n’est pas d’avoir la plus belle des maisons, ou la plus belle des voitures marque « dernier cri »…
L’important c’est de savoir combien de personnes as-tu hébergées chez toi ? Combien de personnes as-tu transportées dans ta voiture ? Combien de repas as-tu partagés ? Combien de malades as-tu soignés ? Combien de sourires as-tu donnés ?
Quand tu fais cela, ton bonheur est décuplé, tu te sens tel un petit soldat de paix… Et je fais fi des phrases « bateaux » du style « on ne peut pas changer le monde »… Non, mais on peut contribuer à l’améliorer… Un seul grain de riz peut faire changer la balance…
Alors ne sois pas tourné vers toi mais ouvre-toi aux autres et tu goûteras au bonheur.
Je n’aurai jamais pensé écrire un livre un jour..comment ce recueil est-il donc né? Comment a-t-il donc vu le jour ?
Ça je vous le raconterai « en tête à tête » …
Au programme :
– Présentation de « Re-cueille d’É Mots-Si-On » et dédicace
– Atelier d’écriture ludique et créatif autour du photolangage
LA LECTURE EST REPORTÉE À UNE DATE ULTERIEURE
Jacques Jouet écrivain oulipien et Tito Honegger plasticienne collaborent depuis 2005.
Jacques Jouet écrivant en regard du travail de Tito Honegger,
Tito Honegger travaillant soit sur l’expression du texte lui-même ou le transcrivant en regard de ses images.
Leur travail commun a donné lieu à de nombreuses expositions et publications.
Les publications seront présentées à l’ICAM-l’Olivier
2004 : OPTITOH Editions Quiquandquoi
Répertoire visuel des objets de Tito Honegger accompagné des poèmes de Jacques Jouet
2008 : Un énorme exercice Editions art&fiction
textes de Jacques Jouet, monotypes de Tito Honegger
2012 : Montagneau Editions art&fiction
Regards croisés sur la montagne suisse
2010 : Paresse
Editions art&fiction, édition unique
2008 : Caresse
édition limitée
Jacques Jouet est à la fois poète, romancier, nouvelliste, auteur de théâtre, essayiste, et artiste plasticien (il réalise des collages).
Il a, en 1978, un premier contact avec l’Oulipo lors d’un stage d’écriture dirigé par Paul Fournel, Georges Perec et Jacques Roubaud.
Jacques Jouet participe aussi, comme les oulipiens François Caradec, Paul Fournel et Hervé Le Tellier, aux Papous dans la tête sur France Culture.
Son feuilleton La République de Mek Ouyes a été diffusé simultanément sur cette radio et sur le web, à travers le site de son éditeur P.O.L.
RESERVATION NECESSAIRE :
propose
« Voyages aux pays de Mammeri»
en deux temps
Création
Ammar Toumi
***
Lecture, textes et poèmes
Nahed Ghezraoui
Tamimount Sammar
***
Musique :
Muhuch Nomarwali
Abdenour Belkhir
Ammar Toumi
La vidéo sera accessible dès dimanche 25 avril 2021 à 21h
Mouloud Mammeri (1917-1989) est un écrivain, anthropologue et linguiste algérien kabyle.
Biographie
Mouloud Mammeri est né le 28 décembre 1917 à Taourirt Mimoune (Ath Yenni) en Haute Kabylie. Il fait ses études primaires dans son village natal. En 1928 il part chez son oncle à Rabat (Maroc), où ce dernier est alors le précepteur de Mohammed V. Quatre ans après il revient à Alger et poursuit ses études au Lycée Bugeaud (actuel Lycée Emir Abdelkader, à Bab-El-Oued, Alger). Il part ensuite au Lycée Louis-le-Grand à Paris ayant l’intention de rentrer à l’École normale supérieure. Mobilisé en 1939 et libéré en octobre 1940, Mouloud Mammeri s’inscrit à la Faculté des Lettres d’Alger. Remobilisé en 1942 après le débarquement américain, il participe aux campagnes d’Italie, de France et d’Allemagne.
A la fin de la guerre, il prépare à Paris un concours de professorat de Lettres et rentre en Algérie en septembre 1947. Il enseigne à Médéa, puis à Ben Aknoun et publie son premier roman, La Colline oubliée en 1952. Sous la pression des événements, il doit quitter Alger en 1957.
De 1957 à 1962, Mouloud Mammeri reste au Maroc et rejoint l’Algérie au lendemain de son indépendance. De 1965 à 1972 il enseigne le berbère à l’université dans le cadre de la section d’ethnologie, la chaire de berbère ayant été supprimée en 1962. Il n’assure des cours dans cette langue qu’au gré des autorisations, animant bénévolement des cours jusqu’en 1973 tandis que certaines matières telles l’ethnologie et l’anthropologie jugées sciences coloniales doivent disparaître des enseignements universitaires. De 1969 à 1980 Mouloud Mammeri dirige le Centre de Recherches Anthropologiques, Préhistoriques et Ethnographiques d’Alger (CRAPE). Il a également un passage éphémère à la tête de la première union nationale des écrivains algériens qu’il abandonne pour discordance de vue sur le rôle de l’écrivain dans la société.
Mouloud Mammeri recueille et publie en 1969 les textes du poète kabyle Si Mohand. En 1980, c’est l’interdiction d’une de ses conférences à Tizi Ouzou sur la poésie kabyle ancienne qui est à l’origine des événements du Printemps berbère.
En 1982, il fonde à Paris le Centre d’Études et de Recherches Amazighes (CERAM) et la revue Awal (La parole), animant également un séminaire sur la langue et la littérature amazighes sous forme de conférences complémentaires au sein de l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS). Ce long itinéraire scientifique lui a permis de rassembler une somme d’éléments fondamentaux sur la langue et la littérature amazighes. En 1988 Mouloud Mammeri reçoit le titre de docteur honoris causa à la Sorbonne.
Mouloud Mammeri meurt le soir du 26 février 1989 des suites d’un accident de voiture, qui eut lieu près de Aïn Defla à son retour d’un colloque d’Oujda (Maroc).
Le 27 février, sa dépouille est ramené à son domicile, rue Sfindja (ex Laperlier) à Alger. Mouloud Mammeri est inhumé, le lendemain, à Taourirt Mimoun. Ses funérailles furent spectaculaire : plus de 200 000 personnes assistèrent à son enterrement. Aucun officiel n’assista à la cérémonie alors qu’une foule compacte scandait des slogans contre le pouvoir en place.
Citation
« Vous me faites le chantre de la culture berbère et c’est vrai. Cette culture est la mienne, elle est aussi la vôtre. Elle est une des composantes de la culture algérienne, elle contribue à l’enrichir, à la diversifier, et à ce titre je tiens (comme vous devriez le faire avec moi) non seulement à la maintenir mais à la développer. »
Réponse de Mouloud Mammeri à un torchon « les donneurs de leçons » paru dans le quotidien officiel dont les responsables n’eurent pas la dignité d’en publier le contenu et qui, de ce fait, circula en Algérie sous forme dactylographiée en avril 1980.
Jugement
« Ses romans représentent, si l’on veut, quatre moments de l’Algérie : « La Colline oubliée » les années 1942 et le malaise dans le village natal avec le départ pour le pays des « autres »; « Le Sommeil du juste » l’expérience de l’Algérien chez ceux-ci et le retour, déçu, chez les siens; « L’Opium et le bâton » la guerre de libération dans un village de la montagne kabyle (…). Enfin « La Traversée » depuis 1962 se termine sur le désenchantement (…).’La mystique est retombée en politique’, le dogme et la servitude sont’programmés’. »
Jean Déjeux, Dictionnaire des auteurs maghrébins de langue française, Paris, Editions Karthala, 1984, p. 158 (ISBN 2865370852)
Bibliographie
Romans :
* La Colline oubliée, Paris, Plon, 1952, 2nde édition, Paris, Union Générale d’Éditions, S.N.E.D., col. 10/18, 1978 (ISBN 2264009071); Paris, Folio Gallimard, 1992 (ISBN 200384748).
* Le Sommeil du juste, Paris, Plon, 1952, 2nde édition, Paris, Union Générale d’Éditions, S.N.E.D., col. 10/18, 1978 (ISBN 2264009081).
* L’Opium et le bâton, Paris, Plon, 1965, 2nde édition, Paris, Union Générale d’Éditions, S.N.E.D., col. 10/18, 1978 (ISBN 2264009063), Paris, La Découverte (ISBN 2707120863) et 1992 (ISBN 009491813).
* La Traversée, Paris, Plon, 1982, 2nde édition, Alger, Bouchène, 1992.
Nouvelles :
* « Ameur des arcades et l’ordre », Paris, 1953, Plon, « La table ronde », n°72.
* « Le Zèbre », Preuves, Paris, N° 76, Juin 1957, PP. 33-67.
* « La Meute », Europe, Paris, N°567-568, Juillet-Août 1976.
* « L’Hibiscus », Montréal, 1985, Dérives N°49, PP. 67-80.
* « Le Désert Atavique », Paris, 1981, quotidien Le Monde du 16 Août 1981.
* « Ténéré Atavique », Paris, 1983, Revue Autrement N°05.
* « Escales », Alger, 1985, Révolution africaine; Paris, 1992, La Découverte (ISBN 270712043X).
Théâtre :
* « Le Foehn ou la preuve par neuf », Paris, PubliSud, 1982, 2nde édition, Paris, pièce jouée à Alger en 1967.
* « Le Banquet », précédé d’un dossier, la mort absurde des aztèques, Paris, Librairie académique Perrin, 1973.
* « La Cité du soleil », sortie en trois tableaux, Alger, 1987, Laphomic, M. Mammeri : Entretien avec Tahar Djaout, pp. 62-94.
Traduction et critique littéraire :
* « Les Isefra de Si Mohand ou M’hand », texte berbère et traduction, Paris, Maspero, 1969, 1978 (ISBN 046999278) et 1982 (ISBN 0052039X); Paris, La Découverte, 1987 (ISBN 001244140) et 1994 (ISBN 013383388).
* « Poèmes kabyles anciens », textes berbères et français, Paris, Maspero, 1980 (ISBN 2707111503); Paris, La Découverte, 2001 (ISBN 056360975).
* « L’Ahellil du Gourara », Paris, M.S.H., 1984 (ISBN 273510107X).
* « Yenna-yas Ccix Muhand », Alger, Laphomic, 1989.
* « Machaho, contes berbères de Kabylie », Paris, Bordas.
* « Tellem chaho, contes berbères de Kabylie », Paris, Bordas, 1980.
Grammaire et linguistique :
* « Tajerrumt n tmazigt (tantala taqbaylit) », Paris, Maspero, 1976.
* « Précis de grammaire berbère », Paris, Awal, 1988 (ISBN 001443038).
* « Lexique français-touareg », en collaboration avec J.M. Cortade, Paris, Arts et métiers graphiques, 1967.
* « Amawal Tamazigt-Français et Français-Tamazigt », Imedyazen, Paris, 1980.
* « Awal », cahiers d’études berbères, sous la direction de M. Mammeri, 1985-1989, Paris, Awal
Sur Mouloud Mammeri
* Jean Déjeux, Bibliographie méthodique et critique de la littérature algérienne de langue française 1945-1977, SNED, Alger, 1979.
* Jean Déjeux, Dictionnaire des auteurs maghrébins de langue française, Paris, Editions Karthala, 1984 (ISBN 2-86537-085-2).
* Anthologie de la littérature algérienne (1950-1987), introduction, choix, notices et commentaires de Charles Bonn, Le Livre de Poche, Paris, 1990 (ISBN 2-253-05309-0)
Lien interne
Liens externes [modifier]
* [1] :
Photographies (notamment avec Tahar Djaout, à sa gauche), deux extraits, une cinquantaine d’articles de la presse algérienne sur Mouloud Mammeri (2001-2006), Lettre à Da L’Mulud de Tahar Djaout et deux entretiens, l’un avec Chris Kutschera, l’autre avec Jean Pélégri.
* [2] :
« Da l’Mulud », vidéo, scénario d’Ali Mouzaoui, interventions de Lounis Aït Menguellet, Tahar Djaout et Rachid Mimouni
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