INSTITUT DES CULTURES ARABES ET MÉDITERRANÉENNES
AGENDA CULTUREL – الدليل الثقافي العربي
Peut-on parler d’une seule et même musique arabe ? Comment circonscrire géographiquement et stylistiquement un genre musical aussi vaste ? Le projet de cette anthologie est de montrer qu’il n’y a pas qu’une musique arabe, tout en révélant l’unité musicale qui rassemble une vingtaine de pays aux langues, à la culture et au développement différents. Quels sont les points communs entre Rachid Taha, Oum Kalsoum et Omar Souleyman ? Entre les artistes kurdes, libanais ou kabyles ou les musiques populaires, savantes ou religieuses de ces régions ? À travers une centaine d’enregistrements, qui feront passer le lecteur des musiques traditionnelles à leurs réinterprétations pop, se dessine une riche cartographie musicale, propice à une déambulation sonore inédite.
Le nombre de places étant limité l’inscription est indispensable
Le détroit de Gibraltar luit tel un miroir. La Méditerranée et l’Atlantique s’y reflètent, au croisement de l’Europe et de l’Afrique. En cette région singulière ont fleuri deux grandes traditions : le flamenco au nord et la musique arabo-maghrébine au sud.
Le programme du spectacle Les deux Andalousies se décline en une suite de tableaux qui nous font vivre la rencontre de ces cultures. Musiques traditionnelles, créations et improvisations se complètent et immergent l’auditeur dans un univers riche de sons et de couleurs. Chaque étape possède sa propre atmosphère que nuancent les timbres des voix et des instruments comme les divers modes musicaux (maqâm) : la joie, la gravité, la solitude, la sensualité… Les deux rives du détroit s’observent, se rapprochent et fusionnent, mêlant leurs propres histoires grâce à la poésie, la musique et la danse.
Au fil des rythmes et des mélodies, la troupe d’artistes réunit par Marc Loopuyt fait dialoguer les répertoires flamenco « profond et léger » (jondo y chico), arabo-andalou maghrebin (al-alà), maghrebin populaire (chaâbi et aïta), oriental (baladi et quoudoud) et mauresque. Autant d’espaces de rêve et d’évasion.
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Direction artistique : Marc LOOPUYT
Marc Loopuyt : oud, guitare flamenca
Thomas Loopuyt : rebâb, oud
Nacer Hamzaoui : chant arabo-andalou et kouitra
Lorenzo Ruiz : chant flamenco
Yacine Sbay: percussions
Laura Clemente : danse flamenco
Seline : danse orientale
Anouch Donabedian : kamânche
La Compagnie Bab Assalam ou « la Porte de la Paix » réunit trois virtuoses, deux musiciens classiques syriens (oud et percussions) et un clarinettiste français adepte de musique de chambre. Depuis 2005 ces artistes font se rencontrer l’Orient et l’Occident à travers des créations musicales et poétiques d’une grande originalité.
Neuf ans après avoir joué à la citadelle d’Alep aux côtés de derviches tourneurs, Bab Assalam réinvente, en compagnie de l’artiste de cirque Sylvain Julien, le mythe de la danse extatique derviche. C’est un hommage à la ville d’Alep, une ode humaniste, mêlant l’onirisme circasien à la mystique de la danse soufie.
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Bab Assalam : musique
Khaled Aljaramani : oud, chant
Mohanad Aljaramani : percussions, oud, chant
Raphaël Vuillard : clarinettes, live electronic
Sylvain Julien : danse, cerceaux
LE CONCERT N’AURA PAS LIEU EN PRESENTIEL, MAIS SERA RETRANSMIS EN DIRECT SUR FACEBOOK
Laurent Aubert : rubab, Herati dutar
Santosh Kurbet : tabla
Tous deux formés à la musique classique de l’Inde du Nord, Laurent Aubert et Santosh Kurbet proposent un répertoire faisant la part belle aux mélodies populaires d’Afghanistan, avec quelques incursions dans les traditions voisines d’Inde, du Pakistan et d’Asie centrale. Ils interprètent également des râgas indiens « à l’ancienne », qui leur permettent de développer de subtiles improvisations mélodico-rythmiques. Les timbres à la fois secrets et majestueux du rubab ou les envolées cristallines du dutar se marient à merveille avec la dynamique propre au tabla, principal instrument de percussion dans cette région du monde.
Laurent Aubert, musicien et ethnomusicologue, a notamment étudié la musique indienne avec Ustad Jamaluddin Bhartiya, puis la musique afghane (rubab) auprès du maître Daud Khan Sadozai, tout en poursuivant son apprentissage des râgas indiens avec Paul Grant. Il est notamment membre des ensembles Nuryana et Tarab et collabore à divers projets mêlant musique et danse. Il est par ailleurs le fondateur des Ateliers d’ethnomusicologie de Genève.
Santosh Kurbet, indien d’origine, né à Genève, étudie le tabla depuis une quinzaine d’années. Son apprentissage a commencé à Bhadgaon (Inde) auprès de Mukund Gurav puis de Praveen Gajanan Behere dans l’accompagnement des abhang (chants spirituels du Maharashtra). Il poursuit actuellement son apprentissage auprès de Paul Grant, principalement dans l’art du khyal (musique savante de l’Inde du Nord). Il est aussi membre de l’ensemble Nuryana.
Les instruments
Rubab
Instrument caractéristique des musiques d’Afghanistan et du Cachemire, le rubab est un luth à manche court et table d’harmonie en peau, tendu de trois cordes mélodiques en boyau et d’un nombre variable de cordes de résonance métalliques.
Herati dutar
Comme son nom l’indique, cet instrument est originaire de la ville de Herat, dans l’ouest de l’Afghanistan. Luth à long manche et à 14 cordes métalliques, le Herati dutar est particulièrement adapté aux répertoires populaires afghans.
Tabla
Le tabla est l’instrument de percussion le plus répandu non seulement dans le Nord du sous-continent indien, mais aussi en Afghanistan. Il est constitué de deux timbales, tendues chacune d’une peau et jouées à mains nues.
LE CONCERT EST REPORTE A UNE DATE ULTERIEURE .
Nous vous proposons dans l’attente de revoir le concert que le Groupe Cuscus-Flamenco
a donné à l’Alhambra de Genève lors de la Fête de l’Olivier 2018
CusCus Flamenco a été fondée à Granada en 2016 par le chanteur d’origine marocaine Hamid Ajbar, licencié par le Conservatoire de Rabat en tant qu’expert de la musique andalouse et orientale. Le projet est né avec l’idée d’approfondir la musique arabo-andalouse et le flamenco, pour découvrir cette histoire partagée et créer une fusion authentique entre les deux traditions. Très vite, le chanteur Alberto Funes et le guitariste Lolo de la Encarna, tous deux de Granada, ont rejoint le projet, apportant leur profonde connaissance du flamenco, à la fois dans son histoire et dans les différentes “palos” et chansons. Le reste du groupe est composé d’Aziz Samsaoui, avec le qanun, et à son tour directeur du Festival de musique ancienne de Granada, du violoniste Fathi Ben Yakoub, du laudiste Mouhssine Koraichi, du percussionniste Khalid Ahaboune et du flûtiste Fauzia Benedetti. Ils collaborent avec les danseurs du plus haut niveau tels qu’Eva Manzano, Irene la Serranilla et Irene Rueda, entre autres.
Deux histoires, un chemin est une rencontre de musique et de danse entre deux cultures, l’arabe-andalouse et la flamenco. Bien qu’initialement, ils provenaient d’époques différentes, ils coïncident à l’époque et au lieu où les deux étaient marginalisés. Avec ce spectacle, la profondeur du chant flamenco et la poésie lyrique des moaxajas and zejeles andalous sont réunies, accompagnées de la beauté et de la passion de la danse flamenco, dans une fusion «jonda», de saveurs exquises, avec un parfum aussi frais que la brise des nuits d’été de l’Alhambra.
Coorganisation : VESIANART |
Sponsor: |
En collaboration avec: |
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Le santour (graphie francisée la plus commune), santûr, santoor, santur, santouri ou santîr est un instrument de musique iranien, diffusé dans tout le Moyen-Orient, appartenant à la famille des cithares sur table. Il s’agit d’un instrument à cordes frappées, tout comme le cymbalum ou le piano apparus plus tard, dont il est l’origine commune. On peut aussi le classer comme instrument de percussion mélodique. On en joue en effet à l’aide de deux petits marteaux (مضراب en persan ou en turc) placés entre les doigts.
LE CONCERT LIVE SERA DISPONIBLE JEUDI 20 MAI A 20h00
Inscription par email, nombre de place limitées – mesures sanitaires respectées
ARMAN RASHIDIArman, born on 17 december 1986 in Tehran, studied in Tehran. He grew up in a middle-class family and at the age of 8, he first became acquainted with the santur, which was played in the family by his father. His family was musical and very tasteful. His mother also had a very beautiful voice and performed the folk songs beautifully. He first started playing the santur with Mr. sahlrood in Tehran and at the teen ages he performed santur with his brother Keyvan Rashidi who is also a musician, tonbak player and percussion instrument at school ceremonies. Those performances gradually took a better shape and this two brother expanding their artistic activities at the music group which formed by Mr. haddadi. During these years Arman learned to play percussion instruments from his brother and played percussion instruments at the same time, but he never unaware of the santur and in the short time with Mahyar Tarihi who was his friend, he continued playing the santur for improving the quality of his musical performance. During his university, he also arranged performances and concerts, and professionally pursued music, that during this six month he took courses with the professor siamak . After graduating in business administration, he moved to Turkey and began a new chapter in his career. In the first years, he started performing street music alone, and it didn’t take too long to band a group and continue street music with the band. In 2014, he made his television debut on the KTV channel in Istanbul with the band Shitband, and gradually introduced himself to the Turkish market. During these years he continued to work with both his band and other groups, and street performances became official concerts. From 2015 to 2020, he had successful concerts in several important provinces of Turkey, including Konya, Istanbul, Izmir, Antalya, Denizli and several other cities. He never stopped researching and study , he also wrote the first teaching method of Santour in Istanbul Turkish, and he trained many students. He also has many students in the field of percussion instruments. He continues on his path, full of energy. |
ARMAN RASHIDIArman, né le 17 décembre 1986 à Téhéran, a étudié à Téhéran. Il a grandi dans une famille de la classe moyenne et à l’âge de 8 ans, il a d’abord fait la connaissance du santur, joué dans la famille par son père. Sa famille était musicale et de très bon goût. Sa mère avait également une très belle voix et interprétait magnifiquement les chansons folkloriques. Il a commencé à jouer du santur avec M. sahlrood à Téhéran et à l’adolescence, il a joué le santur avec son frère Keyvan Rashidi qui est également musicien, joueur de tonbak et instrument de percussion lors des cérémonies scolaires. Ces performances ont progressivement pris une meilleure forme et ces deux frères étendent leurs activités artistiques au groupe de musique formé par M. haddadi. Au cours de ces années, Arman a appris à jouer des instruments à percussion de son frère et a joué des instruments à percussion en même temps, mais il n’a jamais ignoré le santur et dans le peu de temps avec Mahyar Tarihi qui était son ami, il a continué à jouer du santur pour améliorer la qualité. de sa performance musicale. Au cours de son université, il a également organisé des performances et des concerts, et a poursuivi professionnellement la musique, qu’au cours de ces six mois, il a suivi des cours avec le professeur siamak. Après avoir obtenu son diplôme en administration des affaires, il a déménagé en Turquie et a commencé un nouveau chapitre de sa carrière. Dans les premières années, il a commencé à jouer de la musique de rue seul, et il n’a pas fallu trop de temps pour former un groupe et continuer la musique de rue avec le groupe. En 2014, il fait ses débuts à la télévision sur la chaîne KTV à Istanbul avec le groupe Shitband, et s’introduit progressivement sur la scène turqueAu cours de ces années, il a continué à travailler avec son groupe et d’autres groupes, et les spectacles de rue sont devenus des concerts officiels. De 2015 à 2020, il a eu des concerts réussis dans plusieurs provinces importantes de Turquie, notamment Konya, Istanbul, Izmir, Antalya, Denizli et plusieurs autres villes. Il n’a jamais cessé de rechercher et d’étudier, il a également écrit la première méthode d’enseignement de Santour en turc d’Istanbul, et il a formé de nombreux étudiants. Il a également de nombreux étudiants dans le domaine des instruments à percussion. Il continue son chemin, plein d’énergie. |
Ensemble Tarab
Orients revisités
Laurent Aubert : rubab, dutar, oud, lavta
Philippe Koller : violon
Ludovic Ottiger : tombak, daf, udu, guimbarde, alghoza
None : bendir, riqq, kanjira, darbuka
L’ensemble Tarab est constitué de quatre musiciens provenant d’horizons très divers, mais réunis par un désir commun de développer un langage esthétique à la fois novateur et respectueux des traditions artistiques qu’il évoque. Leur répertoire est inspiré notamment des musiques et les danses de l’Inde, de l’Afghanistan, de l’Orient arabo-turc et des Balkans, avec quelques clins d’œil à l’univers du jazz et des musiques afro-américaines. Le programme de ce concert sera centré sur une série de compositions originales des membres du groupe, qui font la part belle aux improvisations modales et aux rythmes asymétriques.
Tarab : ce mot d’origine arabe évoque l’émotion intense, teintée d’extase et de nostalgie, qu’interprètes et spectateurs peuvent éprouver dans le partage de musiques inspirées.
Si le formulaire ne fonctionnait pas vous pouvez reserver au 022 731 84 40
LA VIDEO SERA VISIBLE LE 11 JUIN DES 20H00
Évènement de Le Zoo / Usine (Officiel)
Le Zoo / Usine (Officiel)
Billets
www.ville-ge.ch/fetedelamusique/programme/concerts
Public · Tout le monde (avec ou sans compte Facebook)
Le Zoo accueille cette année plusieurs artistes à l’occasion de la Fête de la musique! Nous ouvrirons notre bar après les concerts le vendredi et le samedi.
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VENDREDI 18 JUIN 20h – 21h : ZAFÎF
Zafîf (Le bruissement du vent) est un laboratoire musical formé en 2016 à Genève. Superposant les sons du Oud, du Guembri, du Saz avec des percussions, une batterie et de nappes électroniques. Le groupe aime créer de la confusion et casser les codes en composant une musique hybride. Musique mêlant divers styles nord-africain, anatolien et arabe, aux grooves psychédélique et hypnotique du blues, du rock, de la funk et du jazz. Un voyage musical avec la constante présence d’anciens maîtres Gnawis et Yéménites.
ZAFÎF (« Le bruissement du vent »)
Khalil Bensid (Guembri + basse électrique)
Samir Mokrani (Oud + Saz)
Dorian Selmi (percussions+batterie)
Massimiliano Baldassarri (synthétiseur+drônes)
https://zafif.bandcamp.com/releases
La découverte de son flamenco à Genève en 2012 a fiché dans nos mémoires une impatience. Depuis, on trépigne. Depuis, Rocío Molina a investi les places, les musées et les oliveraies de ses chorégraphies, concentrés de tradition et de danse contemporaine marqués par l’impulso. L’impulso, c’est « cette pulsion qu’on interrompt, freine, dont on joue et qu’on travaille comme le pain », dit-elle dans le documentaire qui retrace la création de ce spectacle avec lequel elle nous revient. Ici, pas de mention des prix reçus, des éloges reçus ou des scènes internationales foulées, mais un élan vertigineux vers l’inconnu fait d’improvisations et d’échanges avec des artistes de toutes disciplines. Au terme de ces laboratoires nomades, la « más importante bailaora de Málaga » engage un dialogue intense avec l’oud, la clarinette et les percussions du trio Sabîl. Sur les compositions du magicien Ahmad Al Khatib, les notes s’accordent à toutes les variations du soupir, du silence et du sanglot. Un corps à corps sophistiqué qui nous laisse suspendu·e·s au-dessus d’un abîme de libertés.
The discovery of her flamenco in Geneva in 2012 left us with a feeling of impatience. Since then, we’ve been longing for her return. Since then, Rocío Molina has been taking over squares, museums and olive groves with her choreography, steeped in tradition and contemporary dance, marked by impulso. Impulso is “the impulse that is interrupted, slowed down, played with and kneaded like bread”, she says in the documentary that traces the creation of this show, with which she now returns. Here there is no mention of the awards, the praise or the international venues, but a dizzying dash into the unknown that is made up of improvisations and exchanges with artists from all disciplines. At the end of these nomadic laboratories, Malaga’s greatest bailaora engages in an intense dialogue with the oud, the clarinet and the percussion of the Sabîl trio. In the compositions of magician Ahmad Al Khatib, the notes are tuned to all the variations of the various sighs, silences and sobs. This sophisticated corps à corps leaves us suspended above an abyss of freedom.
Cette année la Fête de L’Olivier, qui sera le 6ème Festival des musiques arabes et Méditerranéennes aura lieu du 21 au 25 septembre, à l’Alhambra et à l’Usine et sera aussi le fruit de synergies avec l’Agence Musica et avec Gazouz et l’Usine !
Le 21 septembre à 20h00 à l’Alhambra. Concert organisé par l’Agence musiKa :
Levon Minassian et Dhafer Youssef à l’Alhambra.
Plus d’informations Billeterie
Faraj Suleiman Trio.
Faraj Suleiman – piano, voice
Côme Aguiar – bass guitar
Baptiste de Chabaneix – drums
Plus d’informations Billeterie
CUSCUS-FLAMENCO , (musique arabo-andalouse et Flamenco)
Hamid Ajbar: chant andalous, violon, fondateur, Alberto Funes: chant flamenco, Lolo de la Encarna: guitare flamenco,Aziz Samsaoui: qanun, Fathi Ben Yakoub: violon, Mouhssine Koraichi: luth arabe, Fauzia Benedetti: flûte traversière, Khalid Ahaboune: cajon flamenco, darbouka. Eva Manzano: danseuse flamenco,
Billets: 35.-CHF / AVS, Etudiants 30.-CHF
« After surprise de l’Olivier مهرجان الزيتونة »
Molotof (Egypte) – Live Mahraganat beats– Hip hop
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Yunis (Egypte) – Live Minimal shaabi<
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Shobra General (Egypte) – Live Marhaganat
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Wezza Montaser (Egypte) –[…]
Entrée : 20,- CHF
Concert de DJAM (Algérie)
DJAM Electro-Acoustic Guitar / Lead Voice (Singer)
Billel Chenni Bass
Maamoun Drums
Meddhy Keyboards / Voice
Dalil Electric Guitar/ Voice
Kamelia Choir
Billets: 35.-CHF / AVS,Etudiants 30.- CHF
Plus d’informations Billeterie
Faraj Suleiman – piano, voice
Côme Aguiar – bass guitar
Baptiste de Chabaneix – drums
Né en 1984, Faraj Suleiman est un pianiste et compositeur palestinien reconnu parmi ses pairs dans le monde arabe comme l’un des meilleurs. Ses compositions originales sont influencées par la culture arabe et orientale avec ses musiques modales, le jazz et le tango. Le musicien formé à la musique arabe classique recherche comment atteindre « les oreilles orientales » par ses compositions. Mettant le piano toujours au centre de son oeuvre, Faraj Suleiman a composé pour piano solo, pour quartets, quintets, piano et voix féminines et piano pour orchestre.
Log In, son premier album sorti en 2014, marque le début de son chemin musical. Il est l’auteur d’œuvres diverses, comme Three steps, Mud, Opening of the Palestinian Museum, Love in the Cloud, Once upon a City, Love without a story et récemment Toy Box.
CUSCUS FLAMENCO – DOS HISTORIAS, UN CAMINO
CusCus Flamenco a été fondée à Granada en 2016 par le chanteur d’origine marocaine Hamid Ajbar, licencié par le Conservatoire de Rabat en tant qu’expert de la musique andalouse et orientale, et premier prix dans le domaine du chant andalous. Le projet est né avec l’idée d’approfondir la musique arabo-andalouse et le flamenco, pour découvrir cette histoire partagée et créer une fusion authentique entre les deux traditions. Très vite, le chanteur Alberto Funes et le guitariste Lolo de la Encarna, tous deux de Granada, ont rejoint le projet, apportant leur profonde connaissance du flamenco, à la fois dans son histoire et dans les différentes “palos” et chansons. Le reste du groupe est composé d’Aziz Samsaoui, avec le qanun, et à son tour directeur du Festival de musique ancienne de Granada, du violoniste Fathi Ben Yakoub, du laudiste Mouhssine Koraichi, du percussionniste Khalid Ahaboune et du flûtiste Fauzia Benedetti. Ils collaborent avec les danseurs du plus haut niveau tels qu’Eva Manzano, Irene la Serranilla et Irene Rueda, entre autres.
Dos Historias, un Camino (Deux histoires, un chemin) est une rencontre de musique et de danse entre deux cultures, l’arabe-andalouse et la flamenco. Bien qu’initialement, ils provenaient d’époques différentes, ils coïncident à l’époque et au lieu où les deux étaient marginalisés. Avec ce spectacle, la profondeur du chant flamenco et la poésie lyrique des moaxajas et zajals andalous sont réunies, accompagnées de la beauté et de la passion de la danse flamenco, dans une fusion «jonda», de saveurs exquises, avec un parfum aussi frais que la brise des nuits d’été de l’Alhambra.
LE GROUPE
Hamid Ajbar: chant andalous, violon, fondateur
Alberto Funes: chant flamenco
Lolo de la Encarna: guitare flamenco
Aziz Samsaoui: qanun
Eva Manzano: danseuse flamenco
Fathi Ben Yakoub: violon
Mouhssine Koraichi: lute arabe
Fauzia Benedetti: flûte traversière
Khalid Ahaboune: cajon flamenco, darbouka
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