INSTITUT DES CULTURES ARABES ET MÉDITERRANÉENNES
AGENDA CULTUREL – الدليل الثقافي العربي
MERCREDI 1 MAI |
11h-12h Astrig MARANDJIAN
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13h-14h
L’impact des révolutions arabes sur la culture en collaboration avec le FIFOG Farid ABACHE & Tahar HOUCHI
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14h30-15h30
Boualem Sansal recrée le monde Boualem SANSALModératrice : Leïla TAUIL |
16h-17h
L’Algérie à deux voix , Terre de ma mère Sophie COLLIEX & Djilali BENCHEIKHModératrice : Maude BITTAR |
17h30-18h30
Le Trauma colonial Karima LAZALI |
JEUDI 2 MAI |
12h30-14h
France-Algérie : les identités Sonia JASMINE, Karima LAZALI Sabine ZAALENE & Djilali BENCHEIKHModératrice : Leïla TAUIL |
14h15-15h15
L’islam soufi face aux défis contemporains Cisse KANE |
15h30-16h30
La Mariée du Nil Glorice WEINSTEIN |
17h-19h
Quelle Algérie L’ICAM et le Club Diplomatique de Genève reçoivent BOUALEM SANSAL
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VENDREDI 3 MAI |
10h-11h
Les contes imbriqués à l’orientale –atelier scolaire- Animé par Lia LEVEILLÉ METTRAL |
12h-13h
Tunisie,sortir du désenchantement Hakim Ben Hammouda
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13h30-14h30
Naplouse, Palestine Portraits d’une occupation Stéphane AUCANTE |
15h-16h
La guerre au Liban vue par un solitaire Yan MORVAN |
16h30-17h30
Devoir de mémoire Rachedi MABROUCKModératrice : Tamimount SAMMAR |
18h-19h
Identités buissonnières Dominique ZIEGLERModération : Luisa BALLIN
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SAMEDI 4 MAI |
12h30-13h30
Al-Mutanabbi L’autre prophète Mustapha KHARMOUDI |
14h-15h
Lumières du Maroc –avec projection- Fouad LAROUI |
15h30-16h30
Femmes du Maghreb Leïla BAHSAINFatema HALLeïla TAUILModération : Luisa BALLIN |
17h-18h
Turquie libre, j’écris ton nom Nedim GÜRSELModératrice : Luisa BALLIN |
18h30-19h30
Dieu, les mathématiques, la folie Fouad LAROUIPierre-Alain CherixModération : Marc TURIAULT |
DIMANCHE 5 MAI |
10h-11h
Revue Tunisienne de Science Politique Présentation : Itidel FADHLOUN |
11h30-12h30
La Turquie aujourd’hui Sylvie ARSEVER Nedim GÜRSELModératrice : Luisa BALLIN |
13h-14h
Le discours amoureux des épices Fatema HALModérateur : Fouad LAROUI |
15h-16h
Le socialisme arabe Jean ZIEGLERMohamed Abdel Azim Modératrice : Luisa BALLIN |
16h30-17h30
La création poétique en duo Claire DUTREY/ Véronique MOOSER\ Grégory CHIARADIA /Vital HEURTEBIZEModération : Bruno MERCIER |
PROGRAMME EN PDF ET VOTRE INVITATION
Alexandrie dans la Première Guerre mondiale
Jean-Yves Empereur, historien, archéologue, fondateur du Centre d’études alexandrines
et
Découvrir la campagne alexandrine
Marie-Dominique Nenna, archéologue, spécialiste du verre antique et de l’Egypte gréco-romaine, directrice du Centre d’études alexandrines (CEAlex)
Entrée libre
Un peu partout dans le monde, une nouvelle génération d’artistes travaille sur l’impact que peut avoir le médium de l’art en général, en particulier le théâtre, sur une situation socio-politique spécifique : conflit politique ou social, marginalisation de groupes vulnérables…
Cette méthode thérapeutique a comme objectif, en utilisant le pouvoir créatif et émotionnel de l’art, d’explorer les causes structurelles des tensions sociales, de donner une voix à ceux qui n’en ont pas, de guérir les blessures et les traumatismes refoulés après un conflit et de transformer celui-ci dans une perspective durable.
Suite au réveil de la société civile, ce processus a trouvé un terrain fertile dans le Liban d’après-guerre en proie à de nombreuses tensions sociales et politiques. Beaucoup de dramaturges ont ainsi quitté les salles de théâtre pour exercer leur métier dans les lieux les plus divers : quartiers sinistrés, camps de réfugiés, prisons…
Michel Abou Khalil vient de terminer un doctorat sur ce thème à l’Université Arabe de Beyrouth (BAU). Dans sa conférence, il présentera quelques-unes des réalisations emblématiques de cette nouvelle manière de concevoir la pratique théâtrale en se focalisant sur trois axes : la thérapie sociale, le travail de mémoire et la promotion de la paix. Il posera aussi la question sur l’efficacité réelle du théâtre de transformation sociale dans la promotion de la paix et la lutte contre les injustices et dressera un tableau de ses atouts et de ses limites.
Michel Abou Khalil:
– 2018 à ce jour : Directeur de Swiss Made Culture
– 2014-2017 : Ambassade de Suisse au Liban – Attaché culturel en charge de la section culturelle de l’Ambassade
– 2012-2014 : New York University (NYU) – Instructeur dans le programme linguistique Freely Speaking Arabic Program
– 2006-2010 : Propriétaire de MAK Antiques, antiquaire spécialisé en art islamique et peintres libanais, Beyrouth, Liban
– 1982-2010 : Acteur – participation dans de nombreux feuilletons télévisés, pièces de théâtre, films et doublage (arabe classique et dialecte syro-libanais)
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– 2015-2019 : Beirut Arab University (BAU), PhD en sciences humaines « Art et Conflit: Le processus de la réconciliation par le biais du théâtre au Liban »
– 2014: New York University (NYU), Certificate in Art Business
– 2013-2014: Parsons School of Design, New York, Certificate in Interior Design
-1993-1996: Université Libanaise, Académie Nationale des Beaux-Arts, Beyrouth, Licence et Maîtrise en études théâtrales et art dramatique
La conférence sera suivie d’un verre de l’amitié
Toute œuvre d’art est, d’une certaine manière, un autoportrait. Du camp palestinien de Sabra où il est né et a vécu l’essentiel de sa vie, Abdul Rahman Katanani travaille la matière : la tôle ondulée de ses toits, le béton de ses murs, les fils électriques qui pendent de ses hauteurs, les entremêlements de ses barbelés, ses barils. Mais ce portrait TOTAL, c’est aussi celui du pétrole et de ceux qui l’exploitent. C’est encore ce pigeonnier, où la liberté ne peut être qu’imaginée. C’est finalement ce petit garçon de bleu vêtu qui joue avec un pigeon. Katanani prend tout ce qu’il a sous la main, tout ce qu’il porte en lui, la joie de l’enfance y compris, et en fait de l’art. Il projette, dessine et crée un art d’indocilité et de poésie.
All works of art are, in one way or another, self-portraits. Born in the Palestinian camp of Sabra where he lived most of his life, Abdul Rahman Katanani works with the materials that surround him: the corrugated iron on the camp’s roofs, the concrete on its walls, the electric wires hanging from its heights, the intertwining barbed wire, the barrels. But this TOTAL portrait is also one of oil and of those who exploit it. It is yet this dovecote, where freedom can only be imagined. And finally it is that squatting little boy, dressed in blue, playing with a pigeon. Katanani takes everything he has on hand and inside him, including the joy of childhood, and transforms everything into projects, drawings and art. An art of unruliness and poetry.
EXPOSITION DU 17.07 au 31.07 ; et sur RV uniquement durant le mois d’août
VENDREDI 17 JUILLET | 18:00 – 21:00
19h30 L’Air Oriental : musique de Mohamed Suhir Barakat à
l’oud et Pascal Maillard à la clarinette
13h
15h Lecture de textes poétiques dédiés, par Barbara Polla
dès
18h
Présentation des expositions AUTOPORTRAIT TOTAL SELFPORTRAIT
et «La Pièce manquante» par Abdul Rahman Katanani
et Barbara Polla
DIMANCHE 19 JUILLET | BRUNCH | 12:00 – 16:00
13h Conversation entre Pierre Hazan, conseiller senior en matière
de justice de transition auprès du Centre pour le Dialogue
Humanitaire et membre du Law and Peace Practice Group de
l’Institute for Integrated Transition, et l’artiste Abdul Rahman
Katanani
15h Lecture de textes poétiques dédiés, par Barbara Polla
En partenariat avec Alain Bittar, la galerie Analix Forever vous invite également
à visiter l’exposition «Lignes de Fractures», avec Abdul Rahman Katanani
et Julien Serve, à L’Institut des Cultures Arabes et Méditerranéennes
(ICAM), Rue de Fribourg 5, 1201 Genève
EXPOSITON DU 17.07 au 31.07.2020 et sur RV en août
L’ensemble de ces événements sera géré selon les règles sanitaires en vigueur
Toute œuvre d’art est, d’une certaine manière, un autoportrait. Du camp palestinien de Sabra où il est né et a vécu l’essentiel de sa vie, Abdul Rahman Katanani travaille la matière : la tôle ondulée de ses toits, le béton de ses murs, les fils électriques qui pendent de ses hauteurs, les entremêlements de ses barbelés, ses barils. Mais ce portrait TOTAL, c’est aussi celui du pétrole et de ceux qui l’exploitent. C’est encore ce pigeonnier, où la liberté ne peut être qu’imaginée. C’est finalement ce petit garçon de bleu vêtu qui joue avec un pigeon. Katanani prend tout ce qu’il a sous la main, tout ce qu’il porte en lui, la joie de l’enfance y compris, et en fait de l’art. Il projette, dessine et crée un art d’indocilité et de poésie.
All works of art are, in one way or another, self-portraits. Born in the Palestinian camp of Sabra where he lived most of his life, Abdul Rahman Katanani works with the materials that surround him: the corrugated iron on the camp’s roofs, the concrete on its walls, the electric wires hanging from its heights, the intertwining barbed wire, the barrels. But this TOTAL portrait is also one of oil and of those who exploit it. It is yet this dovecote, where freedom can only be imagined. And finally it is that squatting little boy, dressed in blue, playing with a pigeon. Katanani takes everything he has on hand and inside him, including the joy of childhood, and transforms everything into projects, drawings and art. An art of unruliness and poetry.
EXPOSITION DU 17.07 au 31.07 ; et sur RV uniquement durant le mois d’août
Ahlan wa sahlan !
Le Club de lecture Al Nadi est une initiative créée par deux étudiantes de l’Université de Genève afin de promouvoir la littérature issue du monde arabe, plus précisément le roman, à travers des moments d’échange et de partage.
La première rencontre aura lieu le samedi 21 mars prochain à 17h00 à la librairie arabe l’Olivier autour du roman L’Immeuble Yacoubian de l’auteur égyptien Alaa El Aswany.
Toute personne intéressée est la bienvenue. Il n’est pas indispensable d’avoir lu le livre pour participer. L’entrée est gratuite. La langue d’usage sera le français.
Pour information, vous pouvez vous procurer le livre à la librairie l’Olivier.
Nous nous réjouissons de vous rencontrer.
Bonne lecture !
Construit en plein coeur du Caire dans les années 1930, vestige d’une splendeur révolue, l’immeuble Yacoubian constitue un creuset socioculturel très représentatif de l’Egypte du XXIe siècle naissant. Dans son escalier se croisent ou s’ignorent Taha, le fils du concierge, qui rêve de devenir policier ; Hatem, le journaliste homosexuel ; le vieil aristocrate Zaki, perdu dans ses souvenirs ; Azzam, l’affairiste louche aussi bigot que lubrique ; la belle et pauvre Boussaïna, qui voudrait travailler sans avoir à subir la convoitise d’un patron…
Témoin d’une époque, Alaa El Aswany pose, sans juger, un regard tendre sur des personnages qui se débattent tous dans le même piège, celui d’une société dominée par la corruption politique, la montée de l’islamisme, les inégalités sociales, l’absence de liberté sexuelle, la nostalgie du passé.
Au-delà des problématiques égyptiennes, en digne héritier d’un Dostoïevski, d’un Zola ou d’un Mahfouz, c’est de l’homme que parle Alaa El Aswany, de ses vices et de ses faiblesses, de ses rêves et de ses échecs, et le miroir qu’il tend, pour indulgent qu’il soit, n’en est que plus effrayant.
Il était une fois, « sous l’Olivier » des histoires extraordinaires racontées depuis la nuit des temps pour voyager, sans se déplacer, autour de la Méditerranée.
L’Olivier n’est-il pas l’arbre éternel qui permet de soigner tous les maux ?
Alors, envolons-nous sur un tapis magique à la recherche du bonheur grâce à des histoires rocambolesques qui nous feront découvrir un trésor bien caché, un rêve en apparence inaccessible et l’histoire d’un roi amoureux d’une étoile.
Il était une fois ou peut-être 2, ces histoires sont-elles vraies ou fausses, ça personne ne le sait : l’important étant de rêver « sous l’Olivier », en bonne compagnie…
Pour des raisons de santé, la conteuse Evelyne Merlach remplacera Martine Pasche
La soirée est complète
126 battements de cœur pour animer la Genève internationale ; 126 histoires de vie inspirantes, pour presque autant de nationalités présentes à Genève ; 126 projets économiques, humanitaires, culturels, sélectionnés par l’auteur, qui font voyager le nom de Genève aux quatre coins de la planète. À l’heure de fêter le 100e anniversaire de la première réunion à Genève de la Société des Nations, ce livre est un hommage au multilatéralisme et surtout à la société civile genevoise. À ces personnalités qui la confirment comme capitale des droits humains et de la paix, comme terre d’accueil et d’opportunités, où tout est possible, le dialogue et le changement. Un lieu où l’humanité a toutes les cartes en mains pour se réinventer.
La rencontre sera modérée par Luisa Ballin
Après la publication d’un roman, Au bonheur de Yaya, qui traite notamment d’émigration, Zahi Haddad revient au point central de ses études qui l’ont mené de l’université de Genève à la Columbia University de New York : les relations internationales et la façon dont elles s’imbriquent et façonnent les êtres humains. Auteur, entrepreneur, bloggeur, pétri d’une grande culture internationale, Zahi Haddad a mis toute son expertise et son empathie au service de ces 126 battements de cœur et, en dix-huit mois de recherches et de rencontres, a dressé des portraits uniques, avec passion et authenticité.
Vous pouvez également réserver par mail un exemplaire du livre de Zahi Haddad qu’il pourra vous dédicacer après payement.
ATTENTION:
LA VIDEO NE SERA DISPONIBLE SUR CETTE PAGE QUE DÈS
MARDI 22 DECEMBRE A 18h45
Après son merveilleux “Le Zaatar, dix façons de le préparer” aux éditions de l’Épure, ses précédents livres de recettes mêlant toujours souvenirs personnels et littéraires avec gastronomie,
son récit “ll ny a pas de honte à préférer le bonheur” paru chez Alisio, la médecin libanaise, pédiatre de formation, fondatrice du Prix littéraire Ziryab et de l’association Les Petits soleils,
nous régale une fois encore avec ce livre consacré à la Grenade.
Une soirée gastronomique, festive et conviviale en perspective !
Une rencontre inoubliable.
Interview de NohaBaz dans ELLE (Suisse)
Deux autrices à l’écriture puissante se fondent dans l’histoire et les traditions familiales pour évoquer tout en délicatesse l’intégration et le rapport à la langue, les langues. De la France à la Suisse, de Strasbourg à Genève, les destinées se tissent entre Occident, Moyen-orient et Afrique du Nord. Les jeunes générations tracent un chemin nouveau, riche d’un héritage pluriel. Une rencontre à la croisée des routes !
Modératrice : Natacha DE SANTIGNAC
© Emmanuelle Le Grand – Portrait Kaoutar Harchi
La dessinatrice tunisienne Nadia Khiari et le journaliste auteur de BD Patrice Perna se rencontrent pour la première fois au salon du livre en ville de Genève. Oubliés, révoltés, anonymes, comment porter les voix qui ont fait l’Histoire ? Engagements et enquêtes, en traits et en bulles, les printemps arabes et la seconde guerre mondiale se dessinent !
Modératrice: Magali BOSSI
© Karim Mrad – Portrait Nadia Khiari
Témoigner par tous les temps, raconter l’Histoire, le dessin en première ligne !
Auteurs: Nadia KHIARI ; Patrice PERNA
Modératrice : Magali BOSSI
La dessinatrice tunisienne Nadia Khiari et le journaliste auteur de BD Patrice Perna se rencontrent pour la première fois au salon du livre en ville de Genève. Oubliés, révoltés, anonymes, comment porter les voix qui ont fait l’Histoire ? Engagements et enquêtes, en traits et en bulles, les printemps arabes et la seconde guerre mondiale se dessinent
Nacer Khemir nous parlera de sa vision de l’Amour et nous offrira la possibilité de découvrir son travail au travers d’une exposition.
Du cinéma, de la peinture à la sculpture, de la calligraphie à l’écriture, Nacer Khemir a projeté un pont entre deux rives, entre le Nord et le Sud, l’Orient et l’Occident.
Au plus intime des fantasmes du personnage de madame Akli, reflet d’une Algérie en proie à un souffle d’espérance, se nichent les obsessions chères à l’auteur : le désir, l’amour, le désamour, l’identité, la liberté. Par son écriture tout en sensibilité, charnelle et envoûtante, laissez-vous propulser dans le récit « painted black », satisfaction !
Modératrice: Joséphine DE WECK
© Patrice Normand – Portrait de Nina Bouraoui
Deux autrices à l’écriture puissante se fondent dans l’histoire et les traditions familiales pour évoquer tout en délicatesse l’intégration et le rapport à la langue, les langues. De la France à la Suisse, de Strasbourg à Genève, les destinées se tissent entre Occident, Moyen-orient et Afrique du Nord. Les jeunes générations tracent un chemin nouveau, riche d’un héritage pluriel. Une rencontre à la croisée des routes !
Modératrice : Natacha DE SANTIGNAC
© Emmanuelle Le Grand – Portrait de Kaoutar Harchi
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