INSTITUT DES CULTURES ARABES ET MÉDITERRANÉENNES
AGENDA CULTUREL – الدليل الثقافي العربي
L’histoire rocambolesque de la nationalisation du canal de Suez
La nationalisation du Canal de Suez en 1956 a été un événement majeur avec des conséquences dramatiques en matière de politique internationale. une guerre impliquant la France, la Grande-Bretagne et Israël contre l’Égypte s’en est suivie, allant jusqu’à pousser l’union soviétique à menacer d’envoyer des bombes nucléaires sur Paris et Londres.
Dans l’ombre de ces évènements, un homme, seul, Mustapha El Hefnaoui, préparant durant des années la nationalisation du Canal, » son Canal « , dans un combat juridique et politique, en France et en Égypte. Restant tenace contre vents et marées, subissant les contrecoups de son activisme pour sa cause nationale, il devint l’artisan de l’action qui a permis plus tard au raïs Nasser de déclarer au Monde sa décision de récupérer le canal, en lisant devant une foule immense, le décret de nationalisation.
Dans ses mémoires, traduits par son fils Ali, l’auteur raconte la longue histoire qui l’a conduit de son enfance dans un village du delta du Nil vers la Sorbonne ainsi que dans les locaux de la Compagnie du Canal, rue d’Astorg à Paris, pour arriver à prouver le droit de son pays à récupérer son Canal.
Dans ce récit, certains y percevront une histoire digne des romans d’espionnage de John le Carré, d’autres y verront l’apogée de la lutte du tiers-monde contre le colonialisme du XIXe siècle. Un combat loyal et gaullien d’un homme contre la domination coloniale.
PS :Un dîner suivra la conférence au restaurant Dorian.
Pour ceux intéressés, prière de s’inscrire auprès de Robert Naggar:
robert@rfcn.ch avant le vendredi 8 mars.
Biographie
Né au Caire en Egypte en 1948, Dr El Hefnawy a suivi une formation scolaire francophone sur les bancs des écoles des «Frères de la Salle» au Caire, jusqu’à l’obtention de son Bac en 1967. Sa principale formation supérieure se fait à l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts à Paris, d’où il obtient son diplôme d’Architecte D.P.L.G. Parallèlement, Ali suivra des cours l’informatique, de droit et de sciences politiques.
En début de carrière, au milieu des années 1970, Ali El Hefnawy travaillera en association avec un des grands architectes français, Maurice Novarina, sur des projets au Moyen-Orient, particulièrement au en Egypte. Pour cela ils formeront ensemble le «Groupement des Architectes Franco-Arabes» (G.A.F.A.) . Les années 1980 seront plus orientées sur des activités en relation avec le monde des affaires franco-égyptiennes.. En 1992, Ali El Hefnawy crée le «Club d’Affaires Franco Egyptien» (CAFE). Une structure de chambre de Commerce Française en Egypte. Il est rejoint dès la première année par plus de 400 adhérents. Et en devient le PrésidentAli en deviendra le Président élu quelques années plus tard.
En 1993, Ali El Hefnawy rejoint le cabinet du Premier Ministre égyptien pour mettre en place le Programme de Développement Technologique de l’Egypte. Introduction d’internet, lancement des activités industrielles dans les nouvelles technologies et formations appropriées de la jeunesse égyptienne seront les grandes réalisations de ce programme dans les trois années qui ont suivi.
En 1999, un nouveau ministère est crée en Egypte. Le ministre fait appel à Ali El Hefnawy. Un des plus importants projerts a été la création d’une technopole « Smart Village ». qui fut un grand succès international pour l’Egypte du vingt et unième siècle. Plus d’une centaine de chefs d’état et de gouvernement ont pu visiter cette réalisation. Bill Gates s’y est rendu à deux reprises, et a orienté les activités Microsoft d’Europe vers le Smart Village. Cette technopole accueille plus de trois-cent entreprises et emploie quarante-cinq mille personnes.
Sur 25 hectares de désert à 100 km du Caire, Dr El Hefnawy crée une plantation de fruitiers en utilisant des techniques de pointe pour l’irrigation et la fertilisation de ce grand verger. Manguiers et mandariniers, entourés de palmiers dattiers apporteront par cette gestion ultra moderne des récoltes abondantes de haute qualité. Ce projet a aussi été sa passion durant ses fins de semaines et ses divers congés de 1992 à ce jour. Aujourd’hui c’est depuis l’Auvergne en France qu’il gère cette plantation par les outils informatiques.
Décoré par les insignes de « Chevalier de la Légion d’Honneur » attribuées par la République Française en 2007.
Marié, père de quatre enfants, grand-père de trois petits enfants, Ali entreprends aujourd’hui la promotion de projet de développement en Auvergne, région qui l’a adopté suite à son mariage en 1988 avec une cantalienne.
L’histoire rocambolesque de la nationalisation du canal de Suez
La nationalisation du Canal de Suez en 1956 a été un événement majeur avec des conséquences dramatiques en matière de politique internationale. une guerre impliquant la France, la Grande-Bretagne et Israël contre l’Égypte s’en est suivie, allant jusqu’à pousser l’union soviétique à menacer d’envoyer des bombes nucléaires sur Paris et Londres.
Dans l’ombre de ces évènements, un homme, seul, Mustapha El Hefnaoui, préparant durant des années la nationalisation du Canal, » son Canal « , dans un combat juridique et politique, en France et en Égypte. Restant tenace contre vents et marées, subissant les contrecoups de son activisme pour sa cause nationale, il devint l’artisan de l’action qui a permis plus tard au raïs Nasser de déclarer au Monde sa décision de récupérer le canal, en lisant devant une foule immense, le décret de nationalisation.
Dans ses mémoires, traduits par son fils Ali, l’auteur raconte la longue histoire qui l’a conduit de son enfance dans un village du delta du Nil vers la Sorbonne ainsi que dans les locaux de la Compagnie du Canal, rue d’Astorg à Paris, pour arriver à prouver le droit de son pays à récupérer son Canal.
Dans ce récit, certains y percevront une histoire digne des romans d’espionnage de John le Carré, d’autres y verront l’apogée de la lutte du tiers-monde contre le colonialisme du XIXe siècle. Un combat loyal et gaullien d’un homme contre la domination coloniale.
PS :Un dîner suivra la conférence au restaurant Dorian.
Pour ceux intéressés, prière de s’inscrire auprès de Robert Naggar:
robert@rfcn.ch avant le vendredi 8 mars.
Biographie
Né au Caire en Egypte en 1948, Dr El Hefnawy a suivi une formation scolaire francophone sur les bancs des écoles des «Frères de la Salle» au Caire, jusqu’à l’obtention de son Bac en 1967. Sa principale formation supérieure se fait à l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts à Paris, d’où il obtient son diplôme d’Architecte D.P.L.G. Parallèlement, Ali suivra des cours l’informatique, de droit et de sciences politiques.
En début de carrière, au milieu des années 1970, Ali El Hefnawy travaillera en association avec un des grands architectes français, Maurice Novarina, sur des projets au Moyen-Orient, particulièrement au en Egypte. Pour cela ils formeront ensemble le «Groupement des Architectes Franco-Arabes» (G.A.F.A.) . Les années 1980 seront plus orientées sur des activités en relation avec le monde des affaires franco-égyptiennes.. En 1992, Ali El Hefnawy crée le «Club d’Affaires Franco Egyptien» (CAFE). Une structure de chambre de Commerce Française en Egypte. Il est rejoint dès la première année par plus de 400 adhérents. Et en devient le PrésidentAli en deviendra le Président élu quelques années plus tard.
En 1993, Ali El Hefnawy rejoint le cabinet du Premier Ministre égyptien pour mettre en place le Programme de Développement Technologique de l’Egypte. Introduction d’internet, lancement des activités industrielles dans les nouvelles technologies et formations appropriées de la jeunesse égyptienne seront les grandes réalisations de ce programme dans les trois années qui ont suivi.
En 1999, un nouveau ministère est crée en Egypte. Le ministre fait appel à Ali El Hefnawy. Un des plus importants projerts a été la création d’une technopole « Smart Village ». qui fut un grand succès international pour l’Egypte du vingt et unième siècle. Plus d’une centaine de chefs d’état et de gouvernement ont pu visiter cette réalisation. Bill Gates s’y est rendu à deux reprises, et a orienté les activités Microsoft d’Europe vers le Smart Village. Cette technopole accueille plus de trois-cent entreprises et emploie quarante-cinq mille personnes.
Sur 25 hectares de désert à 100 km du Caire, Dr El Hefnawy crée une plantation de fruitiers en utilisant des techniques de pointe pour l’irrigation et la fertilisation de ce grand verger. Manguiers et mandariniers, entourés de palmiers dattiers apporteront par cette gestion ultra moderne des récoltes abondantes de haute qualité. Ce projet a aussi été sa passion durant ses fins de semaines et ses divers congés de 1992 à ce jour. Aujourd’hui c’est depuis l’Auvergne en France qu’il gère cette plantation par les outils informatiques.
Décoré par les insignes de « Chevalier de la Légion d’Honneur » attribuées par la République Française en 2007.
Marié, père de quatre enfants, grand-père de trois petits enfants, Ali entreprends aujourd’hui la promotion de projet de développement en Auvergne, région qui l’a adopté suite à son mariage en 1988 avec une cantalienne.
Le santour (graphie francisée la plus commune), santûr, santoor, santur, santouri ou santîr est un instrument de musique iranien, diffusé dans tout le Moyen-Orient, appartenant à la famille des cithares sur table. Il s’agit d’un instrument à cordes frappées, tout comme le cymbalum ou le piano apparus plus tard, dont il est l’origine commune. On peut aussi le classer comme instrument de percussion mélodique. On en joue en effet à l’aide de deux petits marteaux (مضراب en persan ou en turc) placés entre les doigts.
LE CONCERT LIVE SERA DISPONIBLE JEUDI 20 MAI A 20h00
Inscription par email, nombre de place limitées – mesures sanitaires respectées
ARMAN RASHIDIArman, born on 17 december 1986 in Tehran, studied in Tehran. He grew up in a middle-class family and at the age of 8, he first became acquainted with the santur, which was played in the family by his father. His family was musical and very tasteful. His mother also had a very beautiful voice and performed the folk songs beautifully. He first started playing the santur with Mr. sahlrood in Tehran and at the teen ages he performed santur with his brother Keyvan Rashidi who is also a musician, tonbak player and percussion instrument at school ceremonies. Those performances gradually took a better shape and this two brother expanding their artistic activities at the music group which formed by Mr. haddadi. During these years Arman learned to play percussion instruments from his brother and played percussion instruments at the same time, but he never unaware of the santur and in the short time with Mahyar Tarihi who was his friend, he continued playing the santur for improving the quality of his musical performance. During his university, he also arranged performances and concerts, and professionally pursued music, that during this six month he took courses with the professor siamak . After graduating in business administration, he moved to Turkey and began a new chapter in his career. In the first years, he started performing street music alone, and it didn’t take too long to band a group and continue street music with the band. In 2014, he made his television debut on the KTV channel in Istanbul with the band Shitband, and gradually introduced himself to the Turkish market. During these years he continued to work with both his band and other groups, and street performances became official concerts. From 2015 to 2020, he had successful concerts in several important provinces of Turkey, including Konya, Istanbul, Izmir, Antalya, Denizli and several other cities. He never stopped researching and study , he also wrote the first teaching method of Santour in Istanbul Turkish, and he trained many students. He also has many students in the field of percussion instruments. He continues on his path, full of energy. |
ARMAN RASHIDIArman, né le 17 décembre 1986 à Téhéran, a étudié à Téhéran. Il a grandi dans une famille de la classe moyenne et à l’âge de 8 ans, il a d’abord fait la connaissance du santur, joué dans la famille par son père. Sa famille était musicale et de très bon goût. Sa mère avait également une très belle voix et interprétait magnifiquement les chansons folkloriques. Il a commencé à jouer du santur avec M. sahlrood à Téhéran et à l’adolescence, il a joué le santur avec son frère Keyvan Rashidi qui est également musicien, joueur de tonbak et instrument de percussion lors des cérémonies scolaires. Ces performances ont progressivement pris une meilleure forme et ces deux frères étendent leurs activités artistiques au groupe de musique formé par M. haddadi. Au cours de ces années, Arman a appris à jouer des instruments à percussion de son frère et a joué des instruments à percussion en même temps, mais il n’a jamais ignoré le santur et dans le peu de temps avec Mahyar Tarihi qui était son ami, il a continué à jouer du santur pour améliorer la qualité. de sa performance musicale. Au cours de son université, il a également organisé des performances et des concerts, et a poursuivi professionnellement la musique, qu’au cours de ces six mois, il a suivi des cours avec le professeur siamak. Après avoir obtenu son diplôme en administration des affaires, il a déménagé en Turquie et a commencé un nouveau chapitre de sa carrière. Dans les premières années, il a commencé à jouer de la musique de rue seul, et il n’a pas fallu trop de temps pour former un groupe et continuer la musique de rue avec le groupe. En 2014, il fait ses débuts à la télévision sur la chaîne KTV à Istanbul avec le groupe Shitband, et s’introduit progressivement sur la scène turqueAu cours de ces années, il a continué à travailler avec son groupe et d’autres groupes, et les spectacles de rue sont devenus des concerts officiels. De 2015 à 2020, il a eu des concerts réussis dans plusieurs provinces importantes de Turquie, notamment Konya, Istanbul, Izmir, Antalya, Denizli et plusieurs autres villes. Il n’a jamais cessé de rechercher et d’étudier, il a également écrit la première méthode d’enseignement de Santour en turc d’Istanbul, et il a formé de nombreux étudiants. Il a également de nombreux étudiants dans le domaine des instruments à percussion. Il continue son chemin, plein d’énergie. |