INSTITUT DES CULTURES ARABES ET MÉDITERRANÉENNES
AGENDA CULTUREL – الدليل الثقافي العربي
Homs, 7 avril 2014. Le père Frans, jésuite néerlandais, vivant en Syrie depuis 1966 est assassiné dans le jardin du couvent où il continuait de résider malgré le conflit syrien faisant rage dans cette partie de la ville assiégée, meurtrie par les bombardements quotidiens, par l’absence de ravitaillement. Le Vatican ne tarde pas à envoyer une dépêche : « Un homme de paix est mort. » Le visage de cet homme hors du commun est alors sur tous les écrans de télévisions occidentales. Le père Frans incarne l’esprit de fraternité et une ténacité incroyable à protéger les innocents
Le père Ziad Hilal était à ses côté à Homs, de l’autre côté de la ville. Jésuite lui aussi, né en Syrie, le jeune curé de Homs livre ici un témoignage poignant de la solidarité à l’oeuvre sous les bombes. Il est un héros presque ordinaire, de ceux que la fraternité inspire au quotidien, et qui, comme son ami Frans, ne renoncent jamais à vouloir la paix. Il est le frère de ses voisins musulmans qui risquent leur vie pour lui, le médiateur des situations qui semblent désespérées, un veilleur parfois impatient et toujours tenace. Un témoignage rare et inspirant
En étudiant les oeuvres de Nikos Kazantzakis (poésie, théatre, romans, cahiers de voyages, traductions, correspondances et entretiens nous comprenons les liens privilégiés de Kazantzakis avec l’Espagne. Sans aucun doute nous pourrions affirmer que c’est le seul pays qu’il a aimé si profondement et intensement que la Grèce et la Crète.
Durant toute sa vie, il a continué à s’interesser à l’Espagne, réalisant nombre de voyages et d’écrits sur ce pays.
Rozmi Pahlish
Née en Crète, de mère grecque et père suisse, Rozmi Pahlish a passé sa petite enfance entre les deux pays et, plus tard, quelques années au Liban, source d’affection, l’Afrique du Sud, puis Genève ou elle a travaillé dans les relations publiques et le management qui l’ont amené ensuite à de nombreuses activités bénévoles. Plusieurs années avec les Associations grecques en collaboration avec les Roumains, Bulgares, Arméniens et Turcs aux histoires parallèles.
Les temps le permettaient. Et présenter la diaspora grecque, de la Mer Noire de Pontos, de Constantinople, de Smyrne, de la Calabre.
Avec le Cercle Féminin des Nations Unies, le but est de gagner assez d’argent avec le Bazaar Annuel pour aider à l’éducation des enfants et permettre aux jeunes filles de devenir non-dépendantes, enseignant à leur fille le goût de l’indépendance et à leurs fils le respect des femmes.
La familiarité avec les écrits de Nikos Kazantzaki lui vient de loin puisque, en étant interdits, sa mère les lui achetait en cachette.
Depuis quatre ans, elle est présidente de la Section Suisse de la SIANK – Société Internationale des Amis de Nikos Kazantzaki
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