Nouvelles d’Algérie – Collectif
Six nouvelles d’auteurs représentatifs de la littérature contemporaine algérienne, francophone ou arabe.
Prix : 19CHF
Six nouvelles d’auteurs représentatifs de la littérature contemporaine algérienne, francophone ou arabe.
Prix : 19CHF
Ce livre rassemble différents articles de Nawaf Salam sur le système politique libanais, réécrits et augmentés de nouvelles réflexions à la lumière, notamment, de la crise des deux dernières années – crise qui menace l’existence même du pays.
Prix : 26CHF
En 2015, la guerre en Syrie entre dans sa quatrième année. Face à la montée des périls en Orient, de jeunes volontaires ont répondu à l’appel : porter secours là où les chrétiens sont en danger. Alexandre Goodarzy est l’un d’entre eux. En 2014, ce jeune professeur d’histoire-géographie rejoint l’association SOS Chrétiens d’Orient. D’une révolution contre la dictature, la guerre en Syrie s’est transformée très vite en guerre religieuse où les chrétiens sont en première ligne, pris en tenaille entre un régime qui se durcit et des groupes islamistes de plus en plus sanguinaires. De Damas à Alep, des villes chrétiennes de Mhardeh aux portes de Palmyre, du krak des Chevaliers au Kurdistan, Alexandre Goodarzy va découvrir une autre Syrie. Une Syrie qui refuse la mainmise de Daech et d’Al-Nosra, qui se bat contre les Frères musulmans et leurs bailleurs de fonds, la Turquie, le Qatar et l’Arabie saoudite. Avec son équipe, Alexandre Goodarzy va multiplier les projets de développement sur place avant d’élargir leur mission à d’autres pays : Ethiopie, Pakistan, Irak, Arménie, Jordanie… partout où les chrétiens sont en danger. Jusqu’à ce jour de janvier 2020, où Alexandre Goodarzy et trois de ses collègues sont enlevés à Bagdad… Alexandre Goodarzy parcourt depuis une vingtaine d’années les pays du Proche-Orient et de l’Asie centrale. Il a vécu de 2015 à 2020 en Syrie. Il est aujourd’hui directeur adjoint des Opérations – responsable Développement chez SOS Chrétiens d’Orient.
Prix : 25CHF
Comment dénoncer ce que l’Europe veut à tout prix ignorer ? L’Algérien Salim Zerrouki utilise un humour cinglant, noir, horriblement grinc ? ant et dérangeant pour raconter ce que l’Europe appelle » crise migratoire » et regarde comme une menace. Selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), près de 17 000 personnes sont mortes ou disparues en Méditerranée depuis 2014. En réalité, elles sont bien plus nombreuses. Parmi les migrants qui meurent chaque année dans le monde, près de trois sur quatre perdent la vie aux portes de l’Europe. Salim Zerrouki tente de réveiller le peu d’humanité qui sommeille en nous. Alors que l’Union européenne finance des garde-côtes libyens chargés de ramener les migrants dans les camps de détention, qu’elle empêche les ONG de secourir les embarcations en perdition en Méditerranée, Salim Zerrouki s’efforce – ; quitte à choquer – ; de nous faire prendre conscience de nos responsabilités. Comment réussir sa migration clandestine délivre des conseils essentiels pour survivre à la noyade, aux viols, à la torture, au vol d’organes. Neuf histoires indépendantes. Toute ressemblance avec des faits réels n’est pas fortuite…
Prix : 21CHF
Un roman graphique pour comprendre le processus de radicalisation à travers les yeux d’un jeune garçon. » Adam. L’attraction du pire » raconte l’histoire d’un jeune en prison, qui revient sur tous les éléments qui l’ont mené là où il est. La sensation d’enfermement et de flashback est extrêmement bien rendue par le talent sobre de Remedium. Un roman graphique qui propose au lecteur une véritable introspection d’un jeune garçon par Daesh. Cet ouvrage est accompagné d’un dossier pédagogique et de pistes éducatives à destination des jeunes, des parents et des enseignants. Avec le soutien du CIPDR (le Comité Interministeriel de Prévention de la Délinquance et de la Radicalisation).
Prix : 24CHF
Je suis restée à Beyrouth presque un mois et demi, du 7 avril au 15 mai 2018, 961 heures au total. Je voulais réaliser le portrait de la ville à travers la cuisine : les gestes de ceux qui la font, les histoires racontées par les Beyrouthins… La cuisine est le seul outil que je possède pour me rapprocher d’une ville. Tant qu’il y aura des gens pour la préparer, dans leur pays ou en terre d’exil, pour prendre des forces. Pour une table idéale.
Prix : 30CHF
L’auteure raconte comment elle a vécu l’explosion du 4 août 2020 qui a ravagé le port de Beyrouth et ses alentours. En contact avec sa famille et ses amis vivant sur place, elle note dans un carnet intime leur témoignage et leur colère qu’elle associe à des illustrations.
Prix : 38CHF
Quinze années de guerre civile, c’est ce qu’a connu le Liban de 1975 à 1990. C’est aussi le contexte dans lequel Maroun a grandi. Devenu jeune adulte, il raconte les années passées à Achrafi eh, le quartier chrétien de l’est de Beyrouth, entouré de sa mère, de son père, engagé dans les milices phalangistes, de son grand frère Iliya, et de ses trois soeurs. Il décrit le quotidien de ceux qui ont appris à vivre sous les bombes et les tirs de snipers, les plaisirs simples dans les moments de trêve, la douceur de l’enfance malgré la violence sourde et incompréhensible avec laquelle il faut cohabiter. A la maison, accrochée au mur du salon, il y a aussi la photo d’un jeune frère, kidnappé et assassiné au début du conflit. Dans la famille règne une mystérieuse atmosphère et, d’aussi loin qu’il s’en souvienne, Maroun a toujours senti peser sur lui un étrange regard. Et pour cause : plus tard, après la guerre, Iliya lui apprend qu’il n’est pas celui qu’il croit être. Seul survivant parmi les occupants d’une voiture que l’unité de « son père » a arrêtés à un barrage pour les abattre ensuite, il a été recueilli, soigné et adopté par la famille qui lui a donné le prénom du fils défunt. Bouleversé par cette révélation, Maroun convoque ses souvenirs, tente de les remettre en ordre, dans une impossible quête de son identité.
Prix : 26CHF
Une invitation à découvrir la cuisine familiale du monde arabe contemporain, entre tradition et modernité, à travers 130 recettes accompagnées d’une mosaïque d’histoires, classées par ingrédients : produits laitiers et oeufs, tomates et aubergines, grenades et citrons, etc.
Prix : 56CHF
Paris, juin 2000. Lisa, étudiante, loue une chambre chez le vieux Mohamed. Retraité veuf et bourru, Mohamed est un ancien harki, un supplétif de l’armée française en Algérie. Lisa et Mohamed ignorent encore que leur rencontre va faire ressurgir le passé. Celui des harkis. Ces hommes qui n’ont aujourd’hui toujours pas le droit de retourner en Algérie. Après L’oeil du STO, Julien Frey continue son travail de mémoire des zones sombres de notre passé en abordant avec sensibilité la question encore douloureuse des harkis. Le travail en couleur de Mayalen Goust en souligne toute l’humanité.
Prix : 34CHF
L'Orient Littéraire
CERMAM
Association Linkchild
Diverscités
Ateliers d'ethnomusicologie
Qantara-Méditerranée
Inst.for Palestine Studies
Club 44
Artistes suisses solidaires avec Gaza
Blog Planète photos
Artlink
l''amour du son
Pages du Liban
Plateforme interreligieuse de Genève
Challenge To Change
Les clefs du Moyen-Orient
